Oùtrouver des graines de kéfir ? Les graines de kéfir peuvent être difficiles à trouver.Traditionnellement, elles se transmettent de particulier en particulier. Il est d’ailleurs possible d’en trouver sur les réseaux sociaux et des groupes Facebook spécialisés. Certains magasins bio sont également achalandés en grains de kéfir si personne autour de vous n’en
Hedera helix Dans la longue liste des interactions entre espèces dans lesquelles le lierre est impliqué, figurent plusieurs formes de mutualismes, ces interactions gagnant/gagnant » où les deux espèces en interaction en tirent des bénéfices +/+ voir la chronique classer les interactions » ; deux d’entre elles concernent directement la reproduction du lierre – la pollinisation des fleurs par l’intermédiaire d’insectes butineurs dont les guêpes et certaines abeilles solitaires voir les deux chroniques dédiées à ce riche sujet Corne d’abondance pour butineurs d’automne et Guêpes d’automne et oiseaux d’hiver – la dispersion des graines présentes dans les fruits charnus par des passereaux frugivores, à peine évoquée dans la dernière chronique citée ci-dessus ; en effet, la production de fruits dépend de la pollinisation il y a des interactions entre les interactions ! Dans cette chronique, nous allons donc détailler cette interaction entre les fruits et graines du lierre et les passereaux frugivores et ses modalités. Massif de lierre couvert de fruits en janvier une aubaine pour oiseaux frugivores avec des milliers de fruits charnus. Des baies particulières Il est difficile de confondre le lierre avec d’autres arbustes et encore moins quand il est en fruits. A l’encontre de tous nos arbustes indigènes attention aux fruits d’arbustes cultivés ou semi-naturalisés, le lierre fleurit à partir de la fin août et surtout en octobre jusqu’en novembre et porte donc ses fruits entre novembre et juin de l’année suivante. Le pic de maturité de ses fruits se situe à partir de fin décembre-janvier et se prolonge jusqu’en mars-avril, à une période où pratiquement plus aucun fruit charnu sauvage n’est disponible dans la nature. Le suivi des colonies de lierre en fruits montre qu’au plus tard fin mai, tous les fruits ont été récoltés ils ne se détachent pas facilement tout seuls et les pieds aux fruits mûrs plus tôt en cours d’hiver sont rapidement dépouillés bien avant ces dates tardives. Les fruits du lierre attirent donc leur lot de consommateurs, essentiellement des passereaux frugivores en dehors de la saison de reproduction. Voir plus loin Les fruits charnus contiennent plusieurs graines et sont donc des baies. Elles sont portées en ombelles simples le lierre appartient à la famille des Araliacées, proche des Apiacées ou Ombellifères terminales au bout des pousses florifères avec des feuilles larges en forme de losange ou latérales. D’abord d’un vert sombre, la baie devient noir bleuâtre ou noir verdâtre à maturité ; à son sommet, on retrouve la trace du disque nectarifère et du style unique central voir la chronique Une corne d’abondance ….. Une peau assez épaisse et lustrée enveloppe une pulpe pourpre peu abondante qui contient les graines. Celles-ci se démarquent par leur taille relativement grande, leur forme et couleur de petite pomme de terre », leur consistance relativement molle et, en coupe, la présence de replis un peu comme un cortex cérébral endosperme ruminé !. Des bombes caloriques Parmi les plantes indigènes à fruits charnus, le lierre possède sans doute les fruits les plus énergétiques par leur fort contenu en lipides. Le diamètre moyen de ces baies varie de 5,5 à presque 9mm selon les ombelles terminales ou latérales et d’un pied à l’autre pour un poids frais atteignant 330mg. La pulpe représente 15 à 50mg en poids sec mais sa relative rareté est compensée par sa composition presque 32% de lipides ou matières grasses, 5% de protéines, 16% de fibres et 47% de sucres. Les acides gras présents sont en plus diversifiés 5% d’acide palmitique, 20%d acide oléique, 13% d’acide linoléique et 62% d’acide pétrosélinique voir pour ce dernier la chronique sur l’aucuba. En dehors de la pulpe, il y a les une à quatre exceptionnellement cinq graines d’un poids frais moyen de 20 à 60 mg chacune. Si on ajoute à ce contenu gras », la disponibilité de ce fruit en fin d’hiver quand les réserves graisseuses des passereaux se trouvent largement entamées par les éventuels épisodes froids qu’ils ont eu éventuellement à affronter, on comprend mieux pourquoi ces derniers les consomment aussi avidement. La taille moyenne de ces baies, à peine celle d’un petit pois, les rend accessibles à presque tous les passereaux frugivores de nos régions sauf les plus petits qui n’ont pas un gosier assez large pour les avaler. Une toxicité nuancée Avant de voir quelles espèces de passereaux consomment ces baies, se pose une question paradoxale on a tous entendu parler des baies du lierre comme toxiques, à éviter voire dangereuses. Deux à trois baies consommées peuvent provoquer chez un enfant des troubles digestifs nausées, vomissements, diarrhées et à plus forte dose mais c’est très rare car ces fruits sont amers et peu appétissants cela peut conduire à une vraie intoxication grave. Chez les animaux domestiques, les mammifères semblent sensibles à ces baies et ne les consomment pas à cause de leur amertume ; parmi les oiseaux, on connaît des cas d’intoxications de poules après la consommation de fruits. Alors, comment font les passereaux ? En fait, si on examine les excréments des passereaux qui ont mangé des baies de lierre, on y retrouve les graines intactes en dépit de leur absence de tégument dur. La solution serait-elle là la digestion des graines entraîne une intoxication mais pas celle de la pulpe ? Les analyses chimiques ne confirment pas complètement cette piste 1 la pulpe des fruits verts non mûrs contient des glycosides cyanogéniques toxiques mais leur présence devient très faible à maturité ; elle contient un flavonoïde toxique, la rutine connue pour diminuer l’appétit et une saponine hédéragénine. Par contre, les graines n’en contiennent pas ! Seules les graines mûres renferment une saponine hédérine irritante. Les saponines sont connues pour leur amertume mais restent peu toxiques sauf pour les escargots elles sont aussi présentes dans le feuillage. Excrément trouvé sur un mur moussu, probablement une crotte de merle qui avait consommé des baies de lierre à proximité Il reste donc une hypothèse intéressante les substances contenues dans la pulpe empêchent les passereaux d’en manger beaucoup à la fois pas plus de dix et repoussent des consommateurs qui écraseraient les graines ; la faible toxicité accélèrerait la transit intestinal ne laissant pas le temps aux sucs digestifs d’attaquer les graines. On remarque que la toxicité des fruits est maximale au stade vert ce qui peut être interprété comme une protection contre une consommation indésirable à ce stade, les graines n’étant pas prêtes ». Donnant-donnant En tout cas, le résultat est là les graines ressortent intactes du transit intestinal et l’oiseau s’est plus ou moins déplacé le temps de la digestion. Les graines peuvent donc ainsi voyager et atterrir au hasard dans un nouvel environnement éventuellement favorable. C’est le principe de la dispersion dans » les animaux ou endozoochorie voir la chronique Voyager par transit intestinal. Il s’agit bien d’une interaction mutualiste à bénéfices réciproques l’oiseau se nourrit avec la pulpe des fruits même si çà lui chatouille un peu les intestins et améliore sa survie à une époque où les ressources restent encore rares ; le lierre bénéficie du transport de ses graines et de leur dépôt à une plus ou moins grande distance du pied mère. D’ailleurs, si les fruits tombent au sol, tant que la pulpe reste autour des graines, celles-ci sont dormantes alors que les graines nues comme dans les excréments germent dans les jours qui suivent leur dépôt et donc plutôt vers le printemps vu la période maturité. C’est ainsi que le lierre réussit à conquérir des sites souvent inaccessibles comme des parois rocheuses, des vieux murs d’édifices, … On remarque aussi que d’un pied à l’autre, les lierres ne fleurissent pas en même temps avec parfois plus de deux mois de décalage et cela semble lié à un déterminisme génétique. Ainsi, la production de fruits se trouve étalée dans le temps ce qui augmente les chances de dispersion. De même certains pieds voient leurs fruits mûrir en quelques semaines alors que chez d’autres la maturation s’étale sur deux mois. Le lierre arrive à coloniser des sites improbables » comme les maisons abandonnées à l’aide des oiseaux qui déposent les graines dans leurs excréments au hasard d’un perchoir. Des transporteurs zélés Le travail remarquable du couple Snow 2 en Angleterre sert de référence quant à la nature des disperseurs des fruits du lierre. Ils ont compilé plus de 2000 observations de terrain à la jumelle sur des oiseaux en train de manger ces baies. Le tableau ci-joint donne le classement obtenu. On voit que la guilde des turdidés grives, merles et secondairement rouge-gorge sédentaires ou hivernants grives mauvis et litornes domine largement ; la période maximale de consommation observée en Angleterre se situe en avril mais selon les pays, selon la rudesse de l’hiver les épisodes neigeux poussent les oiseaux vers cette ressource, selon les périodes maturation des fruits, cela peut varier beaucoup. Des observations récentes en Espagne 3 indiquent que même en période de nidification, certains oiseaux tels que les merles noirs ou fauvettes à tête noire apportent régulièrement des fruits de lierre à leurs oisillons en complément de l’alimentation habituelle à base d’insectes. Les merles observés pouvaient transporter jusqu’à cinq fruits à la fois. Comme les adultes évacuent les sacs fécaux émis par les jeunes et les déposent à une certaine distance du nid pour ne pas attirer l’attention des prédateurs, la dispersion à distance continue à se faire 95,6% des graines ainsi récupérées étaient intactes. Un prédateur de graines Le mutualisme entre le lierre et ces passereaux ne signifie pas que tout le monde » joue ce jeu comme le montre le cas du pigeon ramier, gros consommateur de baies de lierre lui aussi. Sauf que quand on observe ses fientes reconnaissables à la teinte violacée très typique à une époque de l’année où les fruits du lierre sont les seuls disponibles avec cette teinte, on ne retrouve pas les graines elles ont été digérées ! C’est pour cela qu’il ne figure pas dans le tableau ci-dessus comme mutualiste. On suppose que le ramier doit être immunisé contre les substances nocives signalées auparavant. Cependant, il existe des observations où on retrouve des graines intactes dans ses excréments peut être le devenir des graines du lierre dépend-il de ce que le ramier mange en même temps ou selon la présence ou pas de graviers broyeurs dans son gésier. Dans leur étude en Angleterre, le couple Snow a de toutes façons noté que la consommation débutait alors que les baies sont encore vertes donc avec des graines incomplètement formées 78% de la production de fruits était ainsi détruite » par les ramiers dans leur zone d’étude, suivie ensuite par la consommation de fruits mûrs avec un résultat tout aussi négatif. Le ramier a un gros avantage il peut manger 30 fois plus de baies d’un coup qu’une grive ou un merle ! Cet exemple illustre bien la complexité des interactions ; une interaction n’est jamais seule et peut entrer en opposition avec une autre ici, la prédation par le ramier ; comme de plus, le ramier est une espèce en forte augmentation, on peut supposer que son influence est loin d’être négligeable et pourrait imposer une pression sélective vers plus de toxicité ce qui diminuerait sa prédation mais avec le risque de perdre aussi les bons » disperseurs. L’évolution n’est qu’affaire de compromis instables ! BIBLIOGRAPHIE What parts of fleshy fruits contain secondary compounds toxic to birds and why ? A. Barnea ; J. B. Harborne ; C. Pannell. Biochemical systematics and Ecology. Vol. 21 ; n°4, pp. 421-429, 1993 BIRDS AND BERRIES. A study of an ecological interaction. B. and D. Snow. T and AD Poyser Ed. 1988 Blackcaps, Sylvia atricapilla and blackbirds, Turdus merula feeding their nestlings and fledglings on fleshy fruit. Ángel HERNÁNDEZ. Folia Zool. – 54 4 379–388 2005 A retrouver dans nos ouvrages Retrouvez le lierre et ses fruits Pages 20-21 Retrouvez les merles et grives Pages 404-409
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cparthénocarpie » qui engendre des fruits totalement déeourvus de graines. C'est le cas de certaines espèces sélectionnées et cultivées par l'homme comme les bananes comestibles, les oranges sans pépins, etc. LE FRUIT 1.1. Formation du fruit : De I 'ovaire aufruit : Dans la transformation du pistil en fruit, la paroi ovarienne est essentiellement destinée à devenir la

05/11/2021 Dans la chronique Samares les fruits du vent », nous avons détaillé la structure, les fonctions et la biologie des samares, ces fruits secs ailés. Nous avons vu à cette occasion que les samares ne se rencontrent pratiquement que chez des arbres et qu’on en trouve chez des genres appartenant à des familles très diverses, non apparentées. Dans cette chronique, nous allons parcourir les différentes espèces d’arbres de notre flore sauvages et cultivés produisant des samares comme fruits et présenter des critères d’identification s’appuyant uniquement sur ces samares. On peut regrouper les différentes essences à samares en groupes informels G selon la forme des samares. Samares en forme de grosses pièces avec une aile tout autour et la graine au milieu G1 Ormes Ulmus et orme de Samarie Ptelea. Samares en forme de langue allongée G2 Frênes Fraxinus et Ailante Ailanthus Samares disposées par deux G3 Érables Acer Samares différentes voir G4 G1 Pièces de monnaie ou hosties Aile presque ronde avec un fort réseau de nervures dessin réticulé ; diamètre de 1,5 à 2,5cm ; graine centrale très marquée avec une grosse nervure en dessous et au-dessus ; grappes pendantes à nombreux fruits ; chaque samare sur un long pédoncule recourbé. Fruits d’abord verts qui mûrissent en fin d’été et deviennent bruns et secs ; persistent jusqu’au milieu de l’hiver. En hiver, sur les samares tombées au sol notamment, l’aile se décompose mais il reste le réseau de nervures comme un squelette. Arbre cultivé pour l’ornement, originaire d’Amérique du nord Orme de Samarie Les vrais » ormes notre flore compte trois espèces d’ormes. Leurs samares apparaissent tôt au printemps et mûrissent rapidement ; dès le début de l’été, elles ont été dispersées et disparaissent des arbres. 1a Samares portées individuellement sur de longs pédicelles et dont les ailes sont ciliées sur le bord Orme lisse Arbre rare des grandes vallées alluviales, adapté à cet environnement soumis aux crues 1b Samares sur des pédicelles de moins de 2mm de long et aux ailes non ciliées voir 2 2a Samares mûres grandes plus de 2cm de long avec la graine placée à peu près au milieu, loin de l’échancrure du sommet. Espèce surtout montagnarde des forêts et ravins humides Orme de montagne Samares d’orme de montagne 2b Samares mûres plus petites moins de 1,7cm de long avec la graine décentrée vers l’échancrure de l’aile au sommet qu’elle touche presque. Espèce très commune mais très variable avec de nombreuses formes ; forêts, haies, friches. Samares comestibles tant qu’elles sont vertes Orme champêtre G2 Samares longues et étroites Samare atteignant 5cm de long en forme d’hélice tordue sur elle-même de consistance souple et mince ; extrêmement légère ; Graine proéminente centrée au milieu de la samare ; samares d’abord vertes, puis souvent jaunes et rouges ; mûres en fin d’été alors brunes et sèches ; en gros paquets très denses et pendants qui persistent une partie de l’hiver. Arbre originaire de Chine, introduit et naturalisé, devenu envahissant et très commun dans toutes sortes de milieux perturbés par les activités humaines Ailante ou vernis du Japon Les frênes Fraxinus Samares allongées étroites mais relativement dures et coriaces avec une graine visible sous forme de bosse ; disposées en groupes pendants qui persistent souvent une partie de l’hiver. Trois espèces sauvages se rencontrent dans notre flore ; on cultive par ailleurs plusieurs cultivars différents par le feuillage mais pas par leurs fruits et plusieurs espèces d’origine nord-américaine dont deux principales qui commencent à se naturaliser localement. 1a Samares courtes, très étroites, atténuées aux deux extrémités en coin, échancrées au sommet ; en groupes denses, sur des pédoncules allongés et donc très mobiles sous le vent ; graine très étroite linéaire qui n’atteint pas le milieu du fruit. Arbre méditerranéen indigène mais largement cultivé au-delà ; grâce à ses samares qui flottent, il tend à se répandre très rapidement le long des cours d’eau Frêne orné ou orne, ou frêne à fleurs 1b Samares longues voir 2 2a la graine aplatie occupe presque toute la largeur de l’aile voir 3 2b la graine est presque cylindrique, saillante mais elle n’occupe que la moitié de la largeur de l’aile voir 4 frênes américains 3a Samares variables mais le plus souvent à base arrondie ; sommet incisé en forme de cœur. La graine n’atteint pas le milieu de la samare Le frêne le plus commun partout en France ; samares surnommés langues d’oiseau » Frêne élevé 3b Samares très variables mais le plus souvent en coin à la base ; sommet en forme de bec. La graine dépasse le milieu de la samare Très proche du frêne élevé et difficile à distinguer. Arbre présent dans la moitié sud du pays le long des rivières et dans les lieux humides Frêne oxyphylle 4a Samares plus de 5 fois plus longues que larges ; sommet en général échancré. Planté surtout dans la moitié nord du pays ; commence à se naturaliser Frêne rouge. 4b Samares moins de 5 fois plus longues que larges ; sommet plutôt obtus. Arbre planté un peu partout et qui commence aussi à se naturaliser çà et là Frêne blanc ou frêne d’Amérique G3 Les disamares des érables Pas moins de cinq espèces d’érables vivent en France auxquels s’ajoutent plusieurs espèces très cultivées plus ou moins naturalisées. Tous partagent des samares groupées par deux en face à face avec la graine excentrée à la base. Les critères se rapportent aux samares encore accouplées » par deux, avant leur séparation en deux unités indépendantes ; la coloration se rapporte aux samares avant la maturité complète où elles virent toutes au brun. La longueur inclut les deux ailes. Érable champêtre Samares assez petites 3cm avec les deux ailes horizontales dans le prolongement l’une de l’autre écartées donc à 180° ; ailes non ou à peine rétrécies près de la graine, souvent teintées de rougeâtre en été. Arbre commun dans toute la France. Érable de Montpellier Samares petites, pendantes sur de longs pédoncules, avec les ailes rabattues en avant, presque parallèles entre elles ou allant jusqu’à se chevaucher ; ailes fortement rétrécies près de la graine ronde et très saillante. Petit arbre des bois secs et rocheux ; surtout méditerranéen ; planté de plus en plus Érable plane Samares grandes à aile large formant un angle obtus un V très ouvert, le plus souvent vert clair ; graines très aplaties astuce graines plates = plane !. Ailes non rétrécies près de la graine. Arbre de plus en plus répandu ; très planté notamment en ville Érable sycomore Samares grandes 4-8cm à ailes recourbées en forme d’accent circonflexe ; ailes fortement rétrécies près de la graine ; coloration variable vert foncé à plus moins teintées de rouge. Graine grosse, ronde et saillante. Arbre très commun et très planté notamment en ville. Érable à feuilles d’obier Samares grandes à ailes droites mais rabattues et formant un V très fermé angle aigu ; ailes fortement rétrécies près de la graine. Arbre uniquement montagnard avec une sous-espèce en Corse très proche d’aspect de l’érable sycomore. Érable de Cappadoce Samares moyennes à grandes 5cm à ailes formant un V très ouvert ; ressemblent à celles du plane mais avec l’extrémité brusquement rabattue. Graines aplaties. Arbre originaire d’Asie, planté comme ornemental et qui se naturalise dans les vallées fluviales. Érable argenté Samares très velues formées dès le début du printemps contrairement aux autres espèces ; ailes tordues divergeant à angle droit, très larges et ridées nervurées parmi les plus grandes des samares d’érables ; souvent, les deux samares d’une paire sont très inégales avec la plus petite sans graine formée ; souvent teintées de rouge. Seuls les arbres femelles portent des fruits arbre dioïque. Arbre nord-américain très planté en ville et qui se naturalise de plus en plus dans les grandes vallées alluviales Érable négondo ou negundo Samares petites à moyennes à ailes très rapprochées en V fermé, incurvées vers l’intérieur ; ailes non ou peu rétrécies près de la graine étroite ; grappes de samares très fournies qui persistent très longtemps en hiver alors qu’ils se forment tôt au cours du printemps. Arbre nord-américain très planté et complètement naturalisé le long des cours d’eau dans les forêts riveraines ; souvent même considéré comme espèce invasive. Seuls les arbres femelles portent des fruits arbre dioïque. N. B. Après la parution de cette chronique, un lecteur, J-Luc Mercier me signale un arbre que je ne connaissais pas, originaire d’Amérique du Sud tropicale, le Tipu Tipuana tupi que l’on cultive comme ornementale superbes fleurs jaunes très voyantes dans le sud de l’Europe et qui produit des samares ressemblant fortement àb celles des érables mais solitaires », non groupées par eux. le plus étonnant est que cet arbre appartient à la famille des Fabacées ou Légumineuses, caractérisée par ses fruits secs qui sont des gousses s’ouvrant en deux valves à maturité ; cet arbre est donc une exception à la règle ! Samares de tipu modifiée d’après le site sur la flore de Crête G4 Samares atypiques et fausses-samares Samares nombreuses groupées en faux-cônes . Arbre nord-américain très cultivé comme ornemental ou comme essence forestière Tulipier de Virginie Samares groupées en longues pendeloques » grappes de petites noix taille d’un pois, chacune avec deux petites ailes Arbre d’Asie Mineure planté ; se naturalise le long des grandes rivières Ptérocarya du Caucase Samare en feuille à trois lobes dont le central est plus grand le vrai fruit, un akène côtelé, est enchâssé à la base de cette samare ; groupées en grappes pendantes. Arbre forestier très commun ; aussi planté charmilles Charme Fausse-samare en forme d’aile vert clair et qui porte un petit bouquet de fruits secs en forme de coques dures Tilleuls Deux espèces indigènes vivent en milieu forestier mais on cultive plusieurs autres espèces dont des hybrides aux samares très proches ; la distinction ne peut se faire sur la base des caractères des ailes de ces samares. Bibliographie Flore forestière 3 tomes JC Rameau et al. Ed. IDF 1989 Flora Gallica. Flore de France. JM tison et B. de Foucault. Ed. Biotope. 2014 Unautre mode de déhiscence que la valvaire est la déhiscence poricide; à maturité, il se forme sur les parois du fruit des ouvertures par où s'échappent les graines (exemple: capsule du Pavot, fig. 4).Enfin, dans la déhiscence dite circulaire: le fruit se rompt transversalement suivant une articulation circulaire dont la partie supérieure se détache en manière de couvercle à la
La fleur de vie est un symbole géométrique et une onde de forme très ancien. Basé sur une série de cercles de même dimension, ils s’entrecroisent en rosace. On obtient une forme hexagonale. À l’intérieur de laquelle le centre de chaque cercle est positionné sur la circonférence de six cercles qui l’entourent. La fleur de vie est généralement représentée par 19 cercles. En réalité sa représentation peut évoluer à l’infini. Elle passe de 7 à 19 cercles, puis à 37, 61, 91, 127, etc… Présentation de la Fleur de Vie en vidéo Symbolique de la Fleur de Vie Lorsque l’on réduit le symbole à 7 cercles en traçant un cercle autour de la première fleur, on obtient la graine de vie. On associe le symbole de la fleur de vie au cycle de la vie d’un arbre fruitier. La fleur devient fruit, qui contient la graine, qui tombe au sol pour germer et donner vie à un nouvel arbre. La graine de vie Cette dernière contient la graine de vie 7 cercles qui s’entrecoupent entourés d’un huitième symbole de fertilité, l’œuf de vie 7 circonférences des cercles et 6 invisibles, symbole de créativité, et le fruit de vie 13 circonférences des cercles symbole d’énergie, ou encore l’arbre de vie, symbole d’enracinement et de vitalité. Dans cette symbolique, le principe de vie part du centre et se déploie à l’infini. La forme rappelle aussi la division cellulaire, principe central de la vie en biologie. La fleur de vie est un motif de géométrie sacrée. Elle symbolise le renouvellement perpétuel, le cycle de la vie. Ce symbole nous rappelle que tout est relié par la structure même de la vie. Elle exprime à la fois l’énergie vitale universelle et le phénomène d’expansion de l’univers. Origines de la fleur de vie Traces anciennes Les origines de la fleur de vie semble traverser le monde, les religions et les époques. L’un des artefacts le plus ancien représentant la fleur de vie se trouve aujourd’hui au Musée du Louvre. Il date environ du 6ème siècle. C’est un seuil de porte orné d’un motif de fleur de vie. Il a été prélevé de l’entrée du temple du roi Assyrien Assurbanipal à Ninive. D. Melchizedek et le temple d’Osiris Selon certains auteurs la fleur de vie aurait plus de six mille ans. Deux fleurs de vie à 19 cercles ont été trouvées dans le temple d’Osiris, à Abydos en Egypte, comme documenté par D. Melchizedek dans son livre The Ancient Secret of the Flower of life » publié en 1999. Leur datation n’est pas exacte, mais elles auraient au moins six mille ans voir beaucoup plus. L’appellation fleur de vie » et l’intérêt moderne pour ce symbole semblent être partiellement attribués à cette publication et au mouvement New-Age qui fait écho à ce texte. Dans son ouvrage, Melchizedek s’intéresse à des sociétés humaines disparues qui auraient eu un niveau de connaissance plus élevé que le nôtre actuellement. Il s’appuie sur l’étude des symboles et de la géométrie sacrée. Comme il le décrit, le symbole traverse le temps et les cultures. Léonard de Vinci Mais bien avant le mouvement New-Age, Léonard de Vinci lui consacre une place d’honneur dans de nombreuses œuvres et études. Il dessine la fleur de vie, la graine de vie et des figures géométriques dérivées comme le cube de métatron dans ses carnets de note, et en étudie l’aspect mathématique. Ces figures mathématiques d’harmonie géométrique traversent son œuvre. La fleur de vie contient tous les solides de Platon, symboles de perfection le tétraèdre, l’octaèdre, l’icosaèdre, le cube et le dodécaèdre. Ces polyèdres sont tous contenus eux-mêmes dans le cube de métatron. Cube de Métatron Téléchargez gratuitement la fleur de vie à imprimer PDF Nous vous proposons un e-book format PDF avec 10 ondes de forme à télécharger et imprimer, dont la fleur de vie. Vous y découvrirez également plus de détail sur les bienfaits. New-Age, mystique et géométrie sacrée Ces variations autour de la figure géométrique se retrouvent dans l’alchimie, mais aussi dans la Kabbale et l’astrologie. Par extension, pour le New Age, le cube de métatron est lié à la Merkaba, le char céleste de la Kabbale, réinterprété comme un véhicule qui permet le voyage multidimensionnel. Métatron est aussi le nom de l’archange qui apparaît dans la mystique juive et islamique. Le lien entre la fleur de vie, la Merkaba et l’archange Métatron provient des interprétations du New-Age. De ce point de vue, la fleur de vie est un véhicule Merkaba qui permet d’accéder au divin. Pour certains aux mémoires akashiques », traces de nos manifestations dans l’éther. Pour la géométrie sacrée, le langage de la forme géométrique connecte tous les niveaux de l’univers, de l’atome aux galaxies. La structure de la fleur de vie suit le nombre d’or si cher à la géométrie sacrée et à Léonard de Vinci. C’est une forme dont la perfection se rapproche de la nature et de l’ordre divin ou cosmique selon la croyance. La fleur de vie dans les temples du monde Cette rosace orne aussi les Églises et les temples chrétiens, juifs, musulmans ou bouddhistes. Elle apparaît dans l’art gothique des cathédrales européennes, sur les vestiges romains. Elle apparait également dans les anciennes synagogues en Israël, ou sous les pattes des lions qui gardent la cité interdite de Pékin en Chine. En Inde, à Hampi, en Italie dans les églises, à Cordoue dans la Mezquita, ou au Japon, dans des temples de confessions différentes, cette forme marque de nombreux temples et lieux de culte. Du Tibet à la Grèce, en passant par l’Irlande jusque dans les jungles tropicales, de nombreux lieux sacrés possèdent une représentation de cette Géométrie Sacrée. Il existe par ailleurs plusieurs variantes du motif. Même si l’appellation fleur de vie » est, pour certains, réservée au motif original à 7 ou à 19 cercles. Variantes de l’art islamique L’art islamique produit de nombreux arrangements basés sur le même principe géométrique, avec des variations quant au nombre de cercles. Cet art porte le nom de Girih », et l’on en trouve des expressions de l’Ouzbékistan, à la Syrie, en passant par la Turquie ou l’Espagne. L’art du Girih se pratique sur le bois, le verre, la pierre, la mosaïque, ou encore le métal. On trouve le plus souvent des motifs à sept cercles comprenant une étoile à 6 ou à 12 branches mais les variations sont infinies. La fleur de vie, support de méditation Une représentation de la fleur de vie peut vous servir de support dans la méditation. Si vous êtes créatif, réalisez une fleur de vie par vous-même ! La réalisation d’un dessin, d’une peinture ou d’une œuvre visuelle représentant la fleur de vie permet en soi d’entrer en méditation et en contact avec la forme et son énergie vibratoire. La création du support fait déjà partie de la méditation, comme dans la réalisation de mandalas. Vous pouvez également vous procurer des tissus imprimés, des bijoux, des impressions ou autres objets qui représentent la fleur de vie. On peut tout simplement imprimer une fleur de vie pour commencer. Voici pour les moins pressés le mode d’emploi pour obtenir une fleur de vie. Comment dessiner une fleur de vie ? Dessiner une fleur de vie Pour dessiner le symbole de la fleur de vie, vous avez besoin d’un compas et d’un crayon. Peut-être vous souvenez-vous avoir dessiné des rosaces à l’école primaire ? C’est le même principe ! La première étape de la fleur de vie est le cercle. Vesica piscis On place ensuite la pointe du compas sur n’importe quel point de la circonférence du cercle. Puis on trace un deuxième cercle de même diamètre. On obtient ainsi la deuxième figure nommée vesica piscis ou vessie de poisson », qui est la base de cette onde de forme. Cette forme se retrouve dans l’art sacré chrétien, pour son lien avec la symbolique du poisson, lié à Jésus. On associe aussi la vesica piscis à l’utérus et la fertilité, ainsi qu’à la dualité. Répétition à l’infini On place la pointe du compas successivement à une intersection de la circonférence des deux premiers cercles. Ensuite l’on trace un troisième cercle, toujours de même diamètre. Ensuite, on obtient la troisième figure, trois cercles liés entre eux, qui rappelle les anneaux Borroméens. Le processus est répété en se plaçant sur l’intersection des deux cercles précédents, jusqu’à avoir complété la fleur centrale. On obtient la graine de vie à sept cercles. En répétant l’opération en partant des cercles extérieurs on étend la forme sacrée à 19 cercles. Et ainsi de suite… On peut continuer à l’infini, de sorte à obtenir une grille. Découvrez les propriétés de la Fleur de Vie La fleur de vie comme support de méditation L’idée de la géométrie sacrée est que, lorsque l’on contemple une forme parfaite de la nature, qui est sacrée par essence, on contemple l’ensemble de la création et l’origine de toutes choses. On se relie ainsi au sacré. De cette manière, la forme géométrique peut être utilisée comme support de méditation. Elle contient les règles de l’espace et du temps et nous relie ainsi à l’univers. Méditation orientée et visualisation En méditation, on peut choisir un thème sur lequel se concentrer, comme celui du cœur par exemple. Pour Melchizedek et le New Age, la fleur de vie nous aide à entrer en contact avec nous-même et avec la source de vie. En entrant dans cet espace sacré, nous entrons en contact avec le divin à l’intérieur de nous. La méditation peut aussi être axée autour d’une visualisation de cette Géométrie Sacrée et des formes qu’elle contient. La visualisation nous aide à nous concentrer. Par la visualisation interne, nous donnons forme à notre univers de façon guidée. Nous pouvons observer et donner forme au monde comme on l’entend dans cet espace privilégié. La fleur de vie et les formes de la géométrie sacrée permettent de projeter un espace-temps équilibré et universel sur l’écran de la conscience. La contemplation de ces formes équilibrées sert alors de fil et d’ancrage à la méditation. N’oubliez pas de vous mettre à l’aise et de bien respirer. Ensuite suspendez le flux de vos pensées, pour pouvoir entrer en contact avec vous-même. Une fois bien installé, visualisez-la. L’exercice n’est pas toujours facile ! Vous pouvez commencer par visualiser la graine de vie à sept cercles, et étendre votre fleur en expansion à partir de là. Si au contraire, vous avez de la facilité à visualiser, vous pouvez explorer les autres formes contenues dans ce symbole. Dynamiser et revitaliser grâce à la fleur de vie La fleur de vie est considérée comme dynamisante et revitalisante en termes d’ondes de forme. Sa symbolique nous relie à une source de vie commune et nous rappelle notre appartenance au monde vivant. Nous sommes tous faits de la même poussière d’étoile. Pour dynamiser des espaces ou des aliments, ce symbole de création et d’unité peut être consciemment utilisé voir article sur l’utilisation de la fleur de vie. Certaines personnes aiment placer cette forme sacrée imprimée sous les aliments, ou en dessiner une sur une jarre à eau par exemple. On met à profit son énergie vibratoire pour dynamiser les minéraux utilisés en lithothérapie, ou les préparations de phytothérapie, huiles essentielles et fleurs de Bach. Formes associées à la fleur de vie La fleur de vie peut aussi être perçue comme un agrégat de formes symboliques. Elle contient la vesica piscis, les solides de Platon, le cube de métatron, l’étoile de David… Elle contient également la graine, l’œuf, le fruit, et l’arbre de vie Ces nombreuses formes offrent de nombreuses possibilités de composition et d’expansion du motif. Fleur de Vie Un symbole universel Ce symbole nous relie au principe de vie universel au travers de la géométrie sacrée. Sa présence dans tant de cultures et d’époques différentes en fait un symbole de l’humanité. En contemplant cette dernière, on contemple un symbole de ce qui nous relie à tous et au grand tout. Et cela au niveau cellulaire comme au niveau planétaire. Ces associations symboliques renforcent l’aura une forme géométrique déjà appréciée pour son équilibre. De l’Egypte des pyramides à Léonard de Vinci, des temples d’Asie au New Age, la fleur de vie ne cesse de fasciner et d’inviter à la contemplation. Si le symbole de la fleur de vie vous intéresse, découvrez également le triskel, la radionique ainsi que l’arbre de vie. Découvrir notre réceptacle Fleur de Vie Réceptacle Fleur de Vie + Chevalet – Fabriqué Artisanalement en France 38,90€ Téléchargez gratuitement la fleur de vie à imprimer Présentation la Géométrie Sacrée
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Խжеψ упсըγ ևሽтат իጢонዝሠоծևֆ ωςοςሒኗпуփօ оծዠշጰ υнтխтю
Lagermination peut se produire à partir de 15 °C (60 °F), mais est optimale dans la fourchette de 29-32 °C (85-90 °F). Les températures idéales pour la croissance de la citrouille et de la courge sont de 23-29 °C (75-85 °F) le jour et de 15-21 °C (60-70 °F) la nuit. La croissance s'arrête pratiquement quand les températures
Les aliments à index glycémique élevé IG supérieur à 70 sont ceux qui font beaucoup grimper le taux de sucre de notre sang lorsque nous les consommons. Ce sont bien sûr les sucreries, mais aussi les aliments pauvres en fibres, les aliments industriels et transformés ! Classés ici par ordre décroissant, le résultat est souvent surprenant ! 1. La bière La bière affiche l’index glycémique le plus élevé 110 ! Pauvre en glucides, elle est riche en maltose, sucre de malt transformé à partir de son brassage. 2. Les sirops Les sirops sont constitués à partir d’une solution concentrée de sucre pour mieux conserver leurs arômes ou principes actifs leur IG est de 100. À noter l’indice de base permettant de calculer l’index glycémique des autres aliments est l’indice glycémique 100 celui du glucose pur ou du pain blanc en une certaine quantité 50 g d’hydrates de carbone de pain blanc. 3. La pomme de terre Les pommes de terre, consommées en frites, en flocons de purée ou cuites au four ont un IG élevé de 95. Cuites à la vapeur dans leur peau, leur index glycémique passe à 70, et tombe à 58, IG modéré, lorsqu’elles sont consommées froides ! 4. Les farines blanches et céréales raffinées La farine de blé blanche et la maïzena comptent un IG de 85. Les pâtes blanches trop cuites, les nouilles de blé tendre, le riz blanc ont un indice de 80 à 70 augmentant si leur cuisson est rapide. Seule exception le riz basmati, même blanc, avec un IG bas autour de 50 ! 5. Le pain blanc Le pain très blanc, le pain de mie et le pain de hamburger ont un index glycémique de 85, comme les farines blanches. La baguette blanche compte aussi un index glycémique élevé, mais moindre 70. 6. Les céréales soufflées Les corn-flakes, la grande majorité des céréales du petit déjeuner, les galettes de maïs et de riz ont un IG aussi élevé que les céréales raffinées 85. 7. Les navets cuits Ne pensez pas que l’IG des fruits et légumes est forcément bas ! Encore un index glycémique de 85 pour les navets dont la cuisson augmente l’indice en favorisant leur assimilation comme les pâtes, les pommes de terre…. 8. Les dattes, la pastèque et le potiron Pastèque, melon et potiron comptent un IG de 72 à 75. La datte, selon son degré de maturation, a un indice glycémique qui peut varier de 70 à 100 ! 9. Les gâteaux et viennoiseries Croissants, pains au chocolat, brioches, biscuits, barres chocolatées, affichent une valeur de 70. On pouvait s’attendre à plus, même si cet index reste élevé. 10. Les sodas et jus de fruits industriels IG de 70 également pour tous les sodas, boissons gazeuses sucrées et aromatisées, mais également tous les jus de fruits en bouteille, même ceux qui sont sans sucre. Bon à savoir le sucre blanc et le sucre roux saccharose n’ont pas un index glycémique très élevé seulement 68 ! Bien moins que la bière, la pomme de terre ou le pain blanc… Si vous vous intéressez à l’IG des aliments, nous vous conseillons cet ouvrage Ma Bible IG du Dr Pierre Nys. A lire également Les principaux aliments à IG bas à privilégier A l’inverse des aliments à Index Glycémique élevé, les aliments à IG bas limitent l’élévation du taux de sucre dans le sang, ce qui en fait des aliments à privilégier dans le cadre d’une alimentation saine. La charge glycémique, un indice plus utile que l’IG Basée sur l’index glycémique mais également sur la quantité de glucides compris dans chaque aliment, la charge glycémique propose une mesure plus réaliste du pouvoir glycémiant de nos repas. Tableaux d’indice glycémique bas, modéré et élevé des aliments Découvrez nos 3 tableaux d’index glycémique, avec les aliments classés selon leur indice bas, modéré, ou élevé. Le régime IG une méthode basée sur l’index glycémique Vous connaissez les IG des aliments mais savez-vous comment les utiliser au mieux dans le cadre d’un programme minceur ? Découvrez le régime IG
Journéede la gentillesse ce jour et je trouve votre démarche de partage tout à fait dans cette complétude que nous devrions retrouver chez chacun de nous! Je souhaiterais recevoir des graines que je puisse enfin retrouver le kéfié de mon enfance et je vous avoue , elle est bien loin!!😉😁 Merci à vous , Bonne journée ! Bien cordialement, Pascale. Nicolas – 3 novembre 2021 Citation graine Sélection de 27 citations sur le sujet graine - Trouvez une citation, une phrase, un dicton ou un proverbe graine issus de livres, discours ou entretiens. Page 1 sur un total de 2 pages. <12345 Citations graineChacune de nos lectures laisse une graine qui germe. Journal édition 1935 - Jules RenardNous plaidons pour une nouvelle médecine... utilisant des compléments alimentaires tels que les graines germées, la gelée royale, le pollen, la propolis, la lécithine de soja et les levures alimentaires. Les aliments biologiques, jean-claude rodet, édition camugli, 1982 isbn 2851830007, p. 103 - Jean-Claude RodetCes compléments alimentaires s'axent sur les vitamines A, C, E, le beta-carotène, les flavonoïdes et le sélénium. Des plantes d'amazonie recelent également ces principes en quantité largement suffisante le Gomphréna, la graine de bixa ou Rocou, l'ipe Roxo lapacho, le Baccharis et l'Acérola. Une technique de jeune annuel l'acidose, prevention n°1 des maladies degeneratives., jean-pierre willem, édition la vie naturelle, decembre 1990, p. n°56 - Jean-Pierre WillemLa nature s'imite. Une graine jetée en bonne terre produit. Un principe jeté dans un bon esprit produit. Pensees de blaise pascal retablies suivant le plan de l'auteur d'apres les textes originaux, accompagnes des additions et des variantes de port-royal édition 1870 - Blaise PascalL'homme est le travailleur du printemps, de la vie, De la graine semée et du sillon creusé, Et non le créancier livide du passé. Œuvres complètes de victor hugo édition 1908 - Victor HugoLa terre qui reçoit la graine est triste. La graine qui va tant risquer est heureuse. This smoke that carried us selected poems, édition white pine pr, 2004 - isbn 9781893996700 - René CharLa terre qui reçoit la graine est triste. La graine qui va tout risquer est heureuse. This smoke that carried us selected poems, édition white pine pr, 2004 - isbn 9781893996700 - René CharLes graines semées dans l'enfance développent de profondes racines. Fin de ronde - Stephen KingDemain, nous ne dirons rien non plus. Demain, pour les témoins, nous serons des vaincus. Les vaincus doivent se taire. Comme les graines. Pilote de guerre - Antoine de Saint-ExupéryLe temps apaise le chagrin, l'éparpille à tous vents, mais il laisse toujours derrière lui des graines irréductibles. Telle est la condition humaine. Ces graines, nous les emportons avec nous dans la tombe. Sans retour, andrew coburn, éd. rivages/noir, 2002, p. 101 - Andrew CoburnIl dit que les légendes sont comme des graines portées aux quatre vents et qu'elles ensemencent l'esprit des hommes. Le commando des immortels - Christophe LambertElle n'a aucune patience, Zoey, et ne supporte pas d'attendre. Pour rien. Si elle plantait une graine, elle la déterrerait tous les jours pour voir si elle pousse, oui ou non. Je veux vivre - Jenny DownhamLes sages d'autrefois comparaient le yoga à un arbre fruitier. D'une seule graine naissent les racines, le tronc, les branches et les feuilles. Yoga Iyengar Initiation aux vingt-trois postures classiques de Belur Krishnamacharya Sundararaja Iyengar - Belur Krishnamacharya Sundararaja IyengarPour savourer des graines ou des bourgeons parfumés, des poudres de racines rares ou des morceaux d'écorce envoûtants, les hommes ont traversé les terres et les océans. La fabuleuse cuisine de la route des épices - Alain SerresAdos Graines d'hommes et de femmes dont on espère améliorer la pousse en les arrosant de reproches. Bouvard de A à Z Par Philippe Bouvard - Philippe BouvardLa graine déposée au milieu du sable sec dort malgré elle et ne peut que rêver de se retrouver un jour entourée d'une vivifiante terre humide. Maximes d'aujourd'hui, édition daniel desbiens - isbn 9780978227029 - Daniel DesbiensLa bonté est une graine qui produit toujours des fruits, mais il faut savoir semer cette graine. Le Jardin des Fruits Histoires édifiantes et spirituelles de Saadi - SaadiEn effet, voici une petite graine bien plus petite que celle du millet, voici une graine d'oenothère mettez la dans la terre, il en sortira une grande et belle plante avec des feuilles et des fleurs et une ravissante odeur, puis cinq ou six cents graines d'où sortiront cinq ou six cents plantes. Cette seule petite graine contient pour toujours des générations infinies de plantes semblables avec leurs feuilles, leurs fleurs et leurs parfums. Voyage autour de mon jardin, alphonse karr, éd. project gutenberg, 1845, p. 88 - Alphonse KarrL'état actuel du monde est le résultat de son état passé, comme la fleur est le résultat de l'évolution de la graine ; et c'est en vain qu'en examinant seulement la fleur et la graine on chercherait à connaître la série des changements qui permettront à l'une de revêtir un jour les formes de l'autre. L'Homme et les sociétés - Gustave Le BonLes souvenirs ressemblent à des graines et la mémoire est un germoir. Chacun garde en réserve des phrases entendues au cours de son existence, qu'il sèmera un jour ou l'autre. Franz et François - François WeyergansPage 1 sur un total de 2 pages. <12345 - Gendarme - Gagner - Generosite - Genie - Gentillesse - Gentleman - Geographie - Gloire - Golf - Goût - Goûter - Gouvernement - Grâce - Grammaire - Grandeur - Grandir - Gratitude - Gratuit - Gravite - Gregaire - Guérir - Guerre Etendez votre recherche Citation graine Phrases sur graine Poèmes graine Proverbes graine Celégume fruit a toutes les qualités : assez facile à réussir, il est productif et se déguste de multiples façons. Ce qui est normal puisqu’il est lui-même multiformes, nain ou grimpant, gousse ou graine, vert, jaune, violet, rouge, noir, long ou court. Petite présentation des différentes variétés de haricots !
Afficher Masquer le sommaireL’ortieLe trèfleLe plantainLe pissenlitLa PâqueretteLes roncesLe lierre terrestreLa noisette de terreLe gaillet grateronL’oseille sauvageLa berce communeL’ail des oursLes violettesLa grande mauveLa Mélisse citronnéeLe houblonLe nombril-de-VénusLe sureau noirLe silèneLe chardonLe plantain LancéoléLa bardaneL’égopodeLe bouleauL’aubépineLe lamier La bette maritimeL’arroche étaléeL’asperge sauvageLe macéron Les plantes et fleurs comestibles sont de plus en plus utilisées par certains grands chefs célèbres. Au cours de vos promenades, dans votre jardin ou potager bio, sur le bord des routes, certaines plantes sauvages peuvent agrémenter nos assiettes. Il faut cependant être absolument sûr des plantes que vous consommez et rester très prudent, car certaines d’entre elles peuvent être toxiques. Des stages sont organisés pour vous apprendre à les identifier avec certitude. Voici une liste de 30 plantes facile à reconnaitre L’ortie Le trèfle Le plantain Le pissenlit La pâquerette Les ronces Lierre terrestre La noisette de terre Le gaillet grateron L’oseille sauvage La berce commune L’ail des ours La violette La grande mauve La mélisse citronnée Le houblon Le nombril de Vénus Le sureau noir Le silène Le chardon Le plantain Lancéolé La bardane L’égopode Le bouleau L’aubépine Le lamier pourpre La bette maritime L’arroche étalée L’asperge sauvage Le macéron L’ortie © Sipa – Pixabay L’ortie est la plus connue des plantes sauvages, c’est aussi la plus ancienne. Mais le saviez-vous ? Cette plante joue un rôle important puisqu’elle nettoie le sol ! C’est pour cela qu’elle est à l’aise partout et que vous pouvez la retrouver dans une décharge. Elle ne se ramasse pas n’importe où. Riche en calcium, en vitamines C et en fer, il est possible de consommer les têtes et les feuilles. Cuisinée avec des pommes de terre, une guiche, elle est délicieuse. Il est également possible de faire du pesto ou du beurre d’ortie et une fois les feuilles sèches, elle peut être dégustée en tisane. Le trèfle © Pinterest Le trèfle on le connait tous, on le trouve un peu partout, mais si vous n’en avez jamais goûté, vous risquez d’être surpris. Cette plante est délicieuse, le goût est fin et elle peut parfaitement être mangée en salade pour accompagner des tomates ou une tarte salée. Il suffit d’essayer pour être convaincu. Le plantain © Dr Cette plante que l’on trouve un peu partout et souvent à proximité des orties fleurit entre mai et octobre. Elle se déguste en salade avec juste un peu d’huile d’olive au thym et un filet de balsamique. Elle possède diverses vertus, elle peut soulager les piqûres d’ortie et elle contribue à la biodiversité, car les oiseaux en particulier l’aiment beaucoup. Le pissenlit © Mabel Amber Le pissenlit est déjà très connu sur le plan culinaire. Cette plante produit des fleurs en abondance entre mars et novembre. Elle est d’autant plus intéressante qu’elle est riche en minéraux et vitamines. Ses fleurs sont utilisées pour faire de la confiture et du vin, tandis que les feuilles et les racines peuvent être cuisinées en salade, en soupes ou infusions. La Pâquerette © Pixabay Cette fleur n’est pas seulement jolie, elle est également riche en calcium. Elle apporte un petit goût original à vos salades et en plus une touche de gaieté et un petit air printanier. Le seul problème avec cette plante, c’est qu’elle a tendance à pousser n’importe où et même là où les traitements toxiques et pesticides ont été répandus. Et dans ce cas bien entendu, elles ne sont pas propres à la consommation. Il faut donc les cueillir dans les potagers ou les jardins bio pour ne prendre aucun risque. Les ronces © Meg Learner Elles n’ont pas très bonne réputation, car elles ont tendance à envahir les jardins. Elles fleurissent de juin à août et contrairement à ce que l’on pourrait croire, elles ont beaucoup d’intérêt les papillons les aiment beaucoup, les mammifères s’y cachent et elles sont riches en vitamines C et en tanin. Les bourgeons se consomment et les baies, les mûres sauvages sont excellentes. Elles peuvent être consommées nature, mais il faut les cueillir en hauteur, car les animaux peuvent uriner sur les parties basses. Vous pouvez également en faire de la confiture. Le lierre terrestre © Pinterest Le lierre terrestre a un réel intérêt au niveau gustatif, car il a un goût délicat et agréable, toutefois son principal défaut est d’être difficilement identifiable. Il faut donc parfaitement apprendre à le reconnaitre avant de se lancer. Il est très bon en salade et peut parfumer un taboulé. Une fois séché, il fait de délicieuses tisanes qui sont très bonnes pour la santé. Il fleurit entre mars et octobre et attire les abeilles et autres insectes pollinisateurs. La noisette de terre © DR La noisette de terre ou conopode fleurit entre mai et juillet, elle se consomme à partir de septembre et jusqu’à la floraison. Pour la récolter, il est nécessaire de gratter la terre et d’en extraire la racine. Le tubercule se mange avec plaisir, car il rappelle le goût de la noisette. En revanche, il faut apprendre à la reconnaitre parfaitement avant de se lancer, car elle ressemble étrangement à la grande cigüe qui est dangereuse et toxique et impropre à la consommation. Le gaillet grateron © Pinterest Le gaillet grateron est facilement identifiable ses feuilles qui présentent un aspect rugueux singulier s’accrochent aux vêtements et aux mains. Il est riche en vitamines C et il peut être dégusté en salade en ajoutant quelques feuilles seulement à une salade verte. L’oseille sauvage © Pinterest Cette plante fleurit de mai à juillet, elle est également appelée rumex et elle permet d’aider à aérer les sols trop tassés. Elle peut être mangée en soupe, en salade, dans certains plats ou sauces qu’elle relève. De nombreuses recettes se servent de l’oseille sauvage depuis très longtemps. La berce commune © Pinterest La berce commune est particulièrement utilisée dans les cakes sans doute à cause de sa saveur qui rappelle la mandarine. Elle fleurit entre juin et septembre et il ne faut surtout pas la confondre avec la grande cigüe très toxique. Il est préférable de s’abstenir au moindre doute. Elle peut également servir d’aromate dans certains plats. L’ail des ours © Annca L’ail des ours est également appelé ail sauvage. La principale difficulté lors de la récolte tient au fait qu’il peut être confondu avec le muguet qui est toxique. Il pousse sur les sols humides et c’est ce qui les différencie. Il faut savoir que tout peut être consommé les boutons, la tige et les fleurs. Il se déguste en consommé ou en pesto, son goût est proche de l’ail. Les violettes Tout le monde connait les violettes, ces petites fleurs qui apparaissent un peu partout dans les forêts, les prairies, au soleil ou à l’ombre, mais ce que vous ne savez peut-être pas c’est qu’elles peuvent être consommées. Ses fleurs et ses feuilles sont comestibles. Les feuilles peuvent remplacer les épinards, elles se préparent de la même manière et sont délicieuses en tartine avec du fromage de chèvre. Les fleurs permettent d’aromatiser le sucre ou de faire de la confiture, elles décorent également une entrée ou un plat. La grande mauve © Pinterest Elle est parfois appelée mauve des bois ou mauve sylvestre. Il est possible de manger ses pétales en les faisant simplement revenir ou en les cuisinant comme les épinards. Elle décore également vos plats en apportant une jolie couleur. La Mélisse citronnée © DR La mélisse citronnée parfume agréablement une salade de fruits ou une salade verte pour cela il suffit d’en ajouter quelques feuilles. Si vous la faites sécher, vous pourrez ensuite l’utiliser en tisanes ou infusions. Il suffit pour cela de cueillir ses feuilles avant qu’elle ne fleurisse, c’est le moment où la mélisse a le plus de goût. Le houblon © Ritae Le houblon pousse la plupart du temps près des ronces et sur des sols humides. Il suffit de récolter les jeunes pousses et de les consommer comme les asperges pour se régaler. Le meilleur moment pour le récolter est la période de juin à septembre. Le nombril-de-Vénus © Pinterest La fleur qui porte ce joli nom est pleine de vertus, en effet elle est riche en minéraux, en fer et en vitamines. On peut consommer ses tiges et ses fleurs en salade. Mais elle a aussi des propriétés anti-douleur. Il suffit de retirer la pellicule qui recouvre les feuilles et de frotter la petite plaie pour soulager la douleur d’une coupure. Le sureau noir © Capri23auto Pixabay Le sureau noir est aussi appelé la vanille du pauvre du fait de son parfum et parfaitement reconnaissable. Il fleurit au début de l’été et il faut attendre août pour que les fruits apparaissent. Fruits qui d’ailleurs peuvent donner lieu à des sirops, des gelées ou des confitures. Les fleurs sont plutôt utilisées en beignets, mais elles peuvent également permettre de faire du vin. Une fois la préparation faite, laissez-la vieillir, elle n’en sera que meilleure encore. Les baies du sureau ne se consomment que cuites, elles peuvent sinon être très dangereuses, car elles se transforment en cyanure durant la digestion. Attention aussi de ne pas le confondre avec la hièble qui est toxique. Le silène © Dr Le silène est une plante qui s’appelle également compagnon rouge. Les pousses apparaissent de mars à mai et ce sont elles qui peuvent être dégustées cuites ou crues en salade. Entre mai et octobre lors de la floraison, les fleurs sont consommables en salade. Le chardon © Pixabay Même si cela peut paraitre étonnant, le chardon peut être cuisiné, il suffit pour cela de le récolter au printemps. Une fois qu’il a bouilli dans l’eau, on peut le retirer et récupérer l’eau pour faire cuire du riz. Il sera ainsi parfumé agréablement grâce à cette plante. Le plantain Lancéolé © Dr Le plantain lancéolé pousse tous les ans dans les prairies entre avril et octobre. Ses feuilles se mangent en salade et sont délicieuses. Il faut les récolter dans des endroits non traités. La bardane © Capri23auto La bardane pousse souvent en forêt. Ses feuilles se mangent crues dans une salade. En les cuisant, vous ferez ressortir son petit goût rappelant l’artichaut. Quand elles viennent de sortir de terre, il est préférable de consommer ces jeunes pousses crues après les avoir pelées. Elles peuvent même être conservées dans du vinaigre. Les pétioles se dégustent indifféremment cuites ou crues. L’égopode © Dr L’égopode est une plante que l’on trouve un peu partout. Et elle se mange facilement. Quand elle est jeune et tendre, vous pouvez la consommer dans la salade. Quand elle est plus ancienne et plus ferme, elle se mange dans des tartes, des soupes ou des guiches. Le bouleau © Babamu Pixabay Le bouleau est un arbre qui offre plein de ressources, sa sève est comestible, elle est prélevée quand les feuilles commencent à pousser. Pour la récolter, il faut faire un trou à la base de l’arbre. Une fois prélevée, il faut en boire le matin pour purifier l’organisme. Si vous aimez les saveurs amères, vous pouvez consommer ses feuilles en les faisant sécher et en les mettant à frire dans un bain d’huile, vous obtenez des chips délicieuses. L’aubépine © Heidel Bergerin Dans l’aubépine, les jeunes feuilles et les cenelles sont consommables. Les jeunes feuilles peuvent être dégustées crues. Les cenelles sont le plus souvent cuisinées crues ou cuites. Assez fades et farineux, ils peuvent être ajoutés à des sauces pour les épaissir ou manger tels quels. Ils peuvent également être séchés puis broyés pour en faire de la farine. Le lamier © Dr Le lamier se trouve surtout dans les sous-bois ou les prairies. Il est préférable de récolter les jeunes feuilles et les jeunes pousses avant la floraison. Elles peuvent alors être dégustées en salade. Vous pouvez également les préparer comme des épinards surtout quand les feuilles sont plus vieilles. N’hésitez pas à les intégrer dans des soupes, des sauces ou des ragoûts. La bette maritime © Pinterest La bette maritime se retrouve souvent sur les côtes françaises, elle serait l’ancêtre sauvage de la betterave. Elle se cuisine de la même manière que les épinards. Il est préférable de choisir les feuilles basales qui sont les plus fermes et les plus larges, il faut supprimer les grandes nervures avant de les mettre à cuire. Elle peut être consommée seule, être intégrée dans des crêpes, des guiches et des soupes. L’arroche étalée © Pinterest L’arroche étalée pousse un peu partout et même dans les endroits les plus improbables. On consomme de préférence les jeunes pousses peuvent être dégustées crues en salade ou ciselées comme les herbes aromatiques. Elles peuvent alors être ajoutées à une quiche ou une omelette. Les feuilles cuites se mangent comme les épinards. Elles peuvent être cuisinées braisées ou à la vapeur, en soupes ou en tartes. Les graines sont utilisées dans le pain, des muffins, des ragoûts ou des soupes. L’asperge sauvage © Pinterest Elle pousse de préférence dans les lieux rocailleux et arides et les terrains calcaires dans le bassin méditerranéen. Elle est riche en vitamines de toutes sortes et en minéraux. Les jeunes pousses sont délicieuses et très tendres, elles peuvent être cuites comme les asperges classiques et dégustées de la même manière. Les racines sont également comestibles. Le macéron © Pinterest Le macéron est une plante qui pousse sur le bord des routes, dans les bois, les haies d’arbres et qui est fortement odorante. On le récolte avant la floraison en coupant les tiges feuillues les plus proches du sol en privilégiant celles qui sont blanchies par la végétation. Il faut ôter les parties vertes et les faire cuire à la vapeur ou bouillir quelques minutes. L’odeur anisée disparait en cuisant, elle est ensuite consommée comme des asperges. Les jeunes feuilles peuvent être servies en salade ou dans des sauces.
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  • elle se trouve autour de la graine des fruits