HABITERDEMAIN RÉ-INVENTONS NOS LIEUX DE VIE Cet « itinĂ©raire de visite » constitue une aide Ă  la dĂ©couverte de l’exposition HABITER DEMAIN, RÉ-INVENTONS NOS LIEUX DE VIE (du 4 dĂ©cembre 2012 au 10 novembre 2013). Le questionnaire porte sur une sĂ©lection d’élĂ©ments et comporte peu de questions. Le « parcours » proposĂ©
En 2050, les villes abriteront six milliards de personnes, soit prĂšs de 70 % de la population mondiale. Un peu comme un laboratoire, Hong Kong expĂ©rimente des solutions nouvelles. Architectes et chercheurs y proposent des espaces verts sur les immeubles ou une flotte de vĂ©hicules autonomes. Un Ă©pisode de RĂȘver le futur, sur PlanĂšte + nous les fera dĂ©couvrir ce soir Ă  20 h 45. Futura a abordĂ© ce sujet Ă  de nombreuses reprises. Voici une balade dans les villes du futur...Cela vous intĂ©ressera aussi [EN VIDÉO] Walkcar, un Ă©trange vĂ©hicule Ă©lectrique Walkcar est un curieux petit vĂ©hicule Ă©lectrique permettant de se dĂ©placer facilement en milieu urbain. Plus pratique et compact qu’un vĂ©lo, il peut tenir facilement dans un sac. En voici une dĂ©monstration en vidĂ©o. Conditions de circulation difficiles, pollution de l’air, qualitĂ© de vie sacrifiĂ©e. Vivre en ville apparaĂźt comme de plus en plus compliquĂ©. Pourtant, en 2050, le monde ne comptera pas moins de 6 milliards de citadins chiffres Banque mondiale. Il semble donc indispensable de remodeler le paysage urbain pour le rendre plus efficace et plus agrĂ©able Ă  vivre. C'est le dĂ©fi lancĂ© aux grandes villes de la ville du futur
La ville durable de demain sera, Ă  n'en pas douter, une ville sobre, compatible avec une planĂšte aux ressources limitĂ©es. MĂȘme si les idĂ©es proposĂ©es par les architectes peuvent parfois sembler un peu folles...Naturopolis New York, la rĂ©volution verte. Ou comment une mĂ©galopole est en train de se repenser sous nos yeux. Dans cinquante ou cent ans, les villes seront diffĂ©rentes de celles d’aujourd’hui. C’est une nĂ©cessitĂ©, mais il faut y rĂ©flĂ©chir maintenant. © Docside Production, Arte, Science & TĂ©lĂ©vision
 pour en faire une vĂ©ritable ville sensibleCrĂ©er du lien entre la ville et ses habitants, en faire un lieu d'Ă©panouissement intellectuel et de proximitĂ© avec la nature, c'est l'enjeu d'une ville plus sensible. Ce modĂšle urbain totalement nouveau offrira aux citadins de demain la possibilitĂ© de jouir de quantitĂ©s de biens et de services, au bon endroit et au bon nourrir les citadins de demain ?Aujourd'hui, la capacitĂ© des villes Ă  nourrir leurs habitants est faible. Pourtant, c'est dans les centres urbains que les consommations sont les plus importantes. À l'avenir, c'est l'ensemble du systĂšme qu'il faudra revoir notamment en prĂ©voyant des espaces de production en ville, mais aussi en Ă©vitant le gaspillage l’énergie pour les villes du futurLa question Ă©nergĂ©tique se place au cƓur des questions posĂ©es par les villes de demain. Dans un contexte de rĂ©chauffement climatique de plus en plus pesant, les urbanistes devront aux citadins de penser les villes de demain en y incluant une rĂ©flexion sur la production d’énergie se dĂ©placeront les citadins de demain ?Les transports reprĂ©sentent un autre enjeu majeur de la ville de demain. Une question de prĂ©servation de l'environnement, une question de santĂ© mais aussi une question de bien vivre en cette vidĂ©o, Nissan et le cabinet d’architecture Foster Partners exposent leur vision de la station-service du futur » qui n’a plus rien Ă  voir avec ce que nous connaissons aujourd’hui. © Nissan Europe, YouTubePlan de dĂ©placement urbain en quoi consiste-t-il ?COP21 les transports non polluants sont-ils la clĂ© d’un futur Ă©cologique ?La voiture autonome de Google comprend les gestes des cyclistesNavya, le premier vĂ©hicule autonome et Ă©lectrique disponible Ă  la venteUne appli pour trouver une place de parking libreLondres va tester des passages piĂ©tons intelligents »IntĂ©ressĂ© par ce que vous venez de lire ?
VIDÉO- Le jumeau numĂ©rique, une reproduction digitale en 3D d’une ville permet de tester diverses solutions pour de grands projets urbains. Un outil qui tend Ă  se gĂ©nĂ©raliser car il permet

C’est certain, le paysage urbain se transforme au fur et Ă  mesure des annĂ©es ; mais le rĂŽle d’une ville est aussi de changer avec son temps et surtout, en accord son environnement. Nos grandes villes doivent dĂ©sormais s’adapter et adopter des alternatives durables, ou prendre des initiatives qui vont dans ce sens, afin de ne pas aggraver les choses. Que cela soit pour rĂ©gler les problĂšmes de pollution, recycler les dĂ©chets ou encore amĂ©nager l’espace pour plus de nature, les villes que nous allons vous prĂ©senter proposent des solutions crĂ©atives qui mĂ©ritent votre attention. Des initiatives et des inventions qui nous parviennent du monde entier et qui, en plus, redonnent le sourire ! Comme vous le savez, le sujet de l’environnement au sein des grands espaces urbains inquiĂšte les habitants. Alors, pour vous montrer que pleins d’alternatives positives et durables pour la planĂšte existent, nous vous avons fait une sĂ©lection de 8 idĂ©es, qu’on vous propose aujourd’hui en collaboration avec Business Insider France. DĂ©couvrez le premier baromĂštre de l’économie positive et durable du site mĂ©dia Business Insider France, qui a mesurĂ© l’impact des prĂ©occupations environnementales sur la consommation et les attentes concernant l’éco-responsabilitĂ© des entreprises. Article sponsorisĂ© par Business Insider France Initiative n°1Londres recycle l’énergie du mĂ©tro Utiliser la chaleur Ă©touffante des transports en commun londoniens pour chauffer les foyers alentours, il fallait y penser ! Comment ça marche ? Une pompe Ă  chaleur installĂ©e dans les tunnels de la Northern Line permet de collecter l’air chaud pour offrir un chauffage moins cher et plus vert aux habitants des quartiers Ă  proximitĂ© en hiver. Un systĂšme qui permet Ă©galement une meilleure ventilation du mĂ©tro en Ă©tĂ©, pour assurer un air plus respirable et moins polluĂ© aux usagers. CrĂ©dits Shutterstock CrĂ©dits Shutterstock Initiative n°2Utrecht fleurit ses abribus pour les abeilles Aux Pays-Bas, ces jolies fleurs et plantes sur le toit des abribus ont trois objectifs bien spĂ©cifiques d’abord offrir aux abeilles de quoi butiner, puis rafraĂźchir l’atmosphĂšre et enfin amĂ©liorer la qualitĂ© de l’air. Aujourd’hui, 316 abris de bus ont Ă©tĂ© vĂ©gĂ©talisĂ©s, une fiertĂ© pour la ville et ses habitants que de permettre la prĂ©servation de l’environnement Ă  leur Ă©chelle. Conjointement Ă  cette mesure, les bus d’Utrecht se mettent Ă©galement Ă  l’électrique. À terme, ils devraient tous rouler de maniĂšre plus Ă©cologique. La commune disposera de transports en commun neutres en carbone d’ici 2028. Une rĂ©solution qu’il serait judicieux d’appliquer dans le monde entier. CrĂ©dits BrightVibes CrĂ©dits BrightVibes CrĂ©dits uitdragerij Instagram Initiative n°3Recycler l’énergie des cyclistes Ă  Amsterdam Saviez-vous que chaque jour, les Amstellodamois pĂ©dalent plus de 2 millions de kilomĂštres ? Que sur cette mĂȘme pĂ©riode, ils produisent millions de kwh ? Des chiffres qui donnent le tournis et qui ont mis la puce Ă  l’oreille Ă  deux crĂ©atifs qui ont imaginĂ© S-Park. L’idĂ©e, qui est actuellement au stade de concept, repose avant tout sur les parkings Ă  vĂ©los, et sur l’installation de roues avant particuliĂšres, qui ont la capacitĂ© de stocker l’énergie produite par les coups de pĂ©dales dans une batterie. Une fois que vous avez fini de pĂ©daler, il vous suffit de glisser la roue du vĂ©lo dans le dispositif pour connecter la batterie. L’énergie va ainsi se libĂ©rer pour ĂȘtre utilisĂ©e par la ville ou au rĂ©seau de consommation du quartier pour la vie quotidienne. CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park CrĂ©dits S-Park Initiative n°4Mexique un arbre artificiel qui absorbe la pollution Nous le savons tous les grandes mĂ©tropoles sont gravement polluĂ©es. Un phĂ©nomĂšne alarmant, auquel une sociĂ©tĂ© mexicaine a dĂ©cidĂ© de s’attaquer en proposant une sorte d’arbre artificiel, capable de filtrer les gaz et autres particules contenus dans l’air urbain. La sociĂ©tĂ© BioMiTech a donc fait le choix de s’inspirer de la nature, en concevant cet arbre, capable de libĂ©rer une quantitĂ© d’oxygĂšne Ă©quivalente Ă  368 arbres ! Comment ça marche ? Le “BioUrban” va absorber la pollution, grĂące Ă  des algues situĂ©es Ă  l’intĂ©rieur, qui lui permettront de purifier l’air que nous respirons en s’inspirant du principe de la photosynthĂšse. CrĂ©dits BioMiTech CrĂ©dits BioMiTech CrĂ©dits BioMiTech Initiative n°5Australie un filet pour limiter la pollution des ocĂ©ans Cap sur l’Australie afin de dĂ©couvrir cette idĂ©e que l’on doit Ă  Kwinana, une ville de 40 000 habitants dans la banlieue de Perth. Pour faire face Ă  la pollution plastique et aux dĂ©chets flottants dans les ocĂ©ans, la ville de Kwinana a eu l’idĂ©e de mettre en place des filets de drainage qui agissent comme de vĂ©ritables piĂšges Ă  dĂ©chets. Ces filets ont Ă©tĂ© placĂ©s sur les sorties des systĂšmes de drainage et ont Ă©tĂ© conçus pour empĂȘcher les dĂ©chets plastiques et autres, transportĂ©s par les eaux pluviales, ou dĂ©libĂ©rĂ©ment jetĂ©s par des individus, de se dĂ©verser dans la nature et dans les ocĂ©ans. Faciles Ă  installer, il suffit de les ramasser avec une grue une fois pleins. Les dĂ©chets collectĂ©s sont ensuite rĂ©cupĂ©rĂ©s pour ĂȘtre triĂ©s afin de sĂ©parer les ordures recyclables de celles qui ne le sont pas. Comme quoi, les idĂ©es les plus simples sont souvent les meilleures ! CrĂ©dits Ville de Kwinana CrĂ©dits Ville de Kwinana CrĂ©dits Ville de Kwinana Initiative n°6Collioure sensibilise avec des messages sur les bouches d’évacuation La commune de Collioure, dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, a eu l’idĂ©e de sceller une plaque Ă  cĂŽtĂ© de 23 grilles d’évacuation des eaux pluviales sur laquelle est inscrit “Ne rien jeter. Ne rien vider. La mer commence ICI”. Le message est clair et s’adresse aux passants qui confondent les bouches d’évacuation des eaux pluviales avec des poubelles en pensant que le principal est que le dĂ©tritus disparaisse. Car Ă  Collioure comme dans bien d’autres communes, les bouches d’évacuation des eaux pluviales servent Ă  rĂ©cupĂ©rer les eaux de pluie pour les faire circuler dans des canaux sous-terrains qui, finalement, se jettent Ă  la mer. Le mĂ©got de cigarette que vous allez donc jeter le matin Ă  travers les grilles, vous pourrez le retrouver lors de votre baignade l’aprĂšs-midi mĂȘme
 Et si jeter quelque chose dans les grilles d’évacuation ne choque personne Ă  premiĂšre vue, jeter un dĂ©tritus directement dans la mer est dĂ©jĂ  beaucoup plus Ă©vocateur. Une sensibilisation simple, efficace et trĂšs visuelle pour faire changer les mentalitĂ©s. CrĂ©dits France 3 Occitanie CrĂ©dits Initiative n°7SĂ©oul transforme une autoroute abandonnĂ©e en parc gĂ©ant En CorĂ©e du Sud, une parcelle d’autoroute Ă  l’abandon a Ă©tĂ© transformĂ©e en un espace de promenade, avec une vĂ©gĂ©tation luxuriante ! Un beau projet qui montre que la tendance est de plus en plus Ă  la rĂ©flexion sur une urbanisation qui intĂšgre la nature. Plus grande ville de CorĂ©e du Sud, avec plus de 10 millions d’habitants, SĂ©oul est un monstre d’urbanisation. La ville comporte de nombreuses autoroutes urbaines, construites dans les annĂ©es 60-80, qui ressemblent Ă  d’immenses viaducs. Ces axes sont de moins en moins utilisĂ©s ou trouvent d’autres alternatives, ce qui amĂšne la ville Ă  les transformer. Alors au lieu de les dĂ©truire, pourquoi ne pas imaginer une autre utilisation, qui pourrait plaire aux habitants ? Voici l’idĂ©e de la sociĂ©tĂ© d’architecture nĂ©erlandaise MVRDV qui a ainsi dĂ©voilĂ© un parc suspendu intĂ©grant plus de 24 000 plantes de 228 espĂšces et sous-espĂšces diffĂ©rentes ! CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV CrĂ©dits MVRDV Initiative n°8Marseille responsabilise ses concitoyens LancĂ© par un citoyen d’origine britannique exaspĂ©rĂ© par les dĂ©chets qui envahissent la ville de Marseille, 1 DĂ©chet par Jour est un projet social et participatif qui vise Ă  responsabiliser tout le monde dans une dĂ©marche de nettoyage urbain. Le principe est extrĂȘmement simple les citoyens sont invitĂ©s Ă  ramasser un dĂ©chet, Ă  se photographier en train de le jeter dans une poubelle, et Ă  partager le clichĂ© sur les rĂ©seaux sociaux avec le hashtag 1pieceofrubbish. L’idĂ©e est ensuite d’inviter ses amis Ă  reproduire l’initiative pour crĂ©er une chaĂźne de “nettoyage social”. Les rĂ©seaux sociaux utilisĂ©s Ă  bon escient peuvent parfois ĂȘtre trĂšs efficaces ! CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour CrĂ©dits 1 DĂ©chet par Jour

LesCM1 ont rĂ©alisĂ© des maquettes en lien avec un projet rĂ©alisĂ© par les classes de sixiĂšme. Le scĂ©nario est le suivant: la montĂ©e des eaux entraĂźne un changement dans l’organisation des villes. Les CM1 ont donc imaginĂ©
Le Monde Afrique L’Afrique en villes 28. Pour Mohamed Amine El Hajhouj, directeur de la SociĂ©tĂ© d’amĂ©nagement de Zenata, le projet dĂ©veloppĂ© prĂšs de Casablanca pourrait ĂȘtre exportĂ© dans d’autres pays. L’éco-citĂ© de Zenata va-t-elle faire oublier l’échec des villes nouvelles au Maroc ? Depuis dix ans, les citĂ©s flambant neuves construites Ă  travers le royaume peinent Ă  sĂ©duire les nouveaux habitants, pris au piĂšge dans des villes fantĂŽmes excentrĂ©es. Cette fois, le Maroc s’est lancĂ© dans la construction d’une ville qui se veut intelligente et respectueuse de l’environnement. InaugurĂ© en 2006 par le roi Mohammed VI, le projet d’éco-citĂ©, une expĂ©rience inĂ©dite en Afrique, devrait accueillir 300 000 habitants d’ici Ă  2030. Rien n’est laissĂ© au hasard. Zenata est assise sur un bien foncier d’une grande valeur financiĂšre appartenant Ă  l’Etat une rĂ©serve stratĂ©gique de 1 830 hectares avec une façade maritime de 5 km Ă  la frontiĂšre nord-est de Casablanca, capitale Ă©conomique oĂč se concentre plus de 30 % du PIB marocain. Et alors que les autres villes nouvelles ont Ă©tĂ© dĂ©lĂ©guĂ©es Ă  des maĂźtres d’ouvrage peu scrupuleux, la future Ă©co-citĂ© s’est dotĂ©e de sa propre structure, la SociĂ©tĂ© d’amĂ©nagement de Zenata SAZ. Celle-ci a fait appel au cabinet français Reichen & Robert et a bĂ©nĂ©ficiĂ© de l’appui financier de l’Agence française de dĂ©veloppement AFD, partenaire du Monde Afrique et de la Banque europĂ©enne d’investissement BEI. PrĂ©sentation de notre sĂ©rie L’Afrique en villes Reste que beaucoup sont sceptiques quant au rĂ©alisme d’une telle Ă©co-citĂ© », un concept qui a souvent Ă©chouĂ© dans le monde. Dans un entretien au Monde Afrique, Mohamed Amine El Hajhouj, directeur gĂ©nĂ©ral de la SAZ, dĂ©fend quant Ă  lui un modĂšle de ville durable pouvant rĂ©volutionner, selon lui, la construction des villes nouvelles au Maroc et en Afrique, oĂč le royaume a engagĂ© une vaste politique d’expansion Ă©conomique. Pourquoi crĂ©er une ville nouvelle aux portes de Casablanca, la plus grande ville du Maroc ? Mohamed Amine El Hajhouj Casablanca a besoin de crĂ©er de nouvelles centralitĂ©s urbaines. Depuis longtemps, le manque de centralitĂ©s oblige la population nombreuse Ă  se dĂ©placer, or le dĂ©placement est le principal vecteur de pollution urbaine. Par ailleurs, le projet a Ă©tĂ© initiĂ© pour rĂ©pondre Ă  un manque Ă  Casablanca, la classe moyenne n’arrive plus Ă  se loger. Les annĂ©es 2000 ont connu une explosion immobiliĂšre. On trouve essentiellement de l’habitat social ou des logements de haut standing, voire de trĂšs haut standing. Zenata est destinĂ©e Ă  la classe Ă©mergente. ConcrĂštement, comment se traduit la dĂ©marche d’éco-conception ? Il s’agit de construire une ville intelligente en termes de mobilitĂ©, d’accĂšs aux soins, d’équitĂ© sociale, d’exploitation de l’espace public, de sĂ©curitĂ©, de gestion des rĂ©seaux et de traitement des dĂ©chets. A Zenata, l’espace vert constitue 30 % du territoire, soit 15 m2 par habitant, sachant que l’Organisation mondiale de la santĂ© [OMS] en recommande 10. C’est une petite rĂ©volution au Maroc. Pour la premiĂšre fois, les parents avec une poussette, les seniors, les handicapĂ©s ou les non-voyants pourront accĂ©der aux espaces publics. Nous allons rendre la ville aux piĂ©tons. Episode 12 A LomĂ©, l’architecte SĂ©namĂ© Koffi veut transposer les vertus du village africain Ă  la ville Cette dĂ©marche correspond-elle Ă  la rĂ©alitĂ© sociale et culturelle des Marocains ? D’aprĂšs une enquĂȘte que nous avons menĂ©e sur le terrain, l’usager marocain prĂ©fĂšre investir dans des logements de plus petite taille mais de plus grande qualitĂ© environnementale. Il peut investir 5 Ă  10 % de plus pour un logement Ă©conome Ă  condition que sa facture Ă©nergĂ©tique se rĂ©duise et que l’espace public soit offert. Et Ă  la rĂ©alitĂ© Ă©conomique du pays ? Notre concept a Ă©tĂ© cristallisĂ© dans un rĂ©fĂ©rentiel d’éco-citĂ© que nous avons labellisĂ© Ă  l’occasion de la COP22 [ConfĂ©rence de Marrackech sur les changements climatiques, en 2016] avec Cerway, l’entitĂ© française qui certifie les projets HQE [haute qualitĂ© environnementale]. Ce label s’inspire de toutes les normes internationales mais il Ă©pouse en mĂȘme temps la rĂ©alitĂ© Ă©conomique des pays Ă©mergents. Au Maroc, le bĂątiment Ă©co-conçu est un bĂątiment Ă©conome qui n’a pas besoin d’atteindre les normes HQE mais rĂ©pond spĂ©cifiquement Ă  nos besoins Ă©conomiques. Episode 26 A Casablanca, la rue n’a pas dit son dernier mot MĂȘme s’ils ne sont pas labellisĂ©s HQE, les bĂątiments Ă©co-conçus coĂ»tent plus cher. Comment garantir l’éco-conception face Ă  des promoteurs soumis Ă  des exigences de rentabilitĂ© ? Nous avons Ă©tabli un cahier des charges dans lequel nous imposons dans certains cas, proposons dans d’autres, les concepts de dĂ©veloppement durable aux promoteurs. Nous avons Ă©galement travaillĂ© sur les business models des promoteurs pour voir si ce surcoĂ»t ne dĂ©passe pas 5 Ă  10 %. A Zenata, les prix du foncier sont infĂ©rieurs au marchĂ© car nous voulons offrir aux promoteurs une charge infĂ©rieure pour leur permettre de construire aux normes demandĂ©es. Vous souhaitez limiter l’usage de la voiture. Comment Ă©viter les dĂ©placements Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur de la ville, notamment pour les futurs habitants de Zenata qui travailleront Ă  Casablanca ? A Zenata, chaque quartier, que l’on appelle unitĂ© de vie », est conçu de maniĂšre semi-indĂ©pendante avec un espace public indĂ©pendant, des Ă©quipements publics indĂ©pendants, des Ă©coles privĂ©es et publiques, des dispensaires, des cabinets mĂ©dicaux, des commerces, etc. Les gens n’auront plus Ă  prendre leur voiture au quotidien. Pour les dĂ©placements Ă  l’extĂ©rieur, un projet de construction d’un RER reliant Mohammedia Ă  Casablanca, en passant par Zenata, est en cours. Tandis qu’une deuxiĂšme ligne de tramway est dĂ©jĂ  en construction. Episode 27 Mohammed El Bellaoui sur les murs ou en BD, suivez le guide Ă  Casablanca A qui appartient le foncier ? Qu’en est-il des habitants des bidonvilles qui vivaient sur le terrain ? Le foncier est partagĂ© entre le secteur privĂ© et l’Etat. Comme partout dans le monde, la crĂ©ation d’une ville nouvelle se base sur une dĂ©claration d’utilitĂ© publique, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© d’expropriation, rĂ©gie par une procĂ©dure juridique. Les habitants des bidonvilles ne sont pas sujets Ă  expropriation car ils Ă©taient installĂ©s sur des terrains qui ne leur appartiennent pas. Mais puisque nous sommes dans une approche inclusive, nous avons dĂ©cidĂ© de les inclure dans le projet. C’est ce que j’appelle le droit du premier habitant. A Zenata, environ 180 hectares sont rĂ©servĂ©s au relogement de ces habitants, soit 50 000 personnes. OĂč en est le projet aujourd’hui ? Le projet a dĂ©jĂ  franchi plusieurs Ă©tapes. L’alimentation en eau potable, l’électrification et les travaux d’assainissement sont achevĂ©s. L’échangeur autoroutier est prĂȘt. Tous les travaux d’infrastructures liĂ©s Ă  la partie cĂŽtiĂšre sont en cours de construction. Le pĂŽle commercial, le pĂŽle santĂ© et le pĂŽle Ă©ducation sont en route. Une ville ne se construit pas du jour au lendemain, c’est un projet sur une trentaine d’annĂ©es. Lire aussi Ville vivable, ville durable ? Tous les projets de villes nouvelles qui ont vu le jour au Maroc sont considĂ©rĂ©s comme un Ă©chec. En quoi Zenata est-elle diffĂ©rente ? Un indicateur Ă©loquent m’a laissĂ© perplexe quand j’ai commencĂ© Ă  travailler sur le projet de Zenata 75 % des villes nouvelles construites dans le monde sont considĂ©rĂ©es comme un Ă©chec. Pourquoi ? D’une part Ă  cause de l’accessibilitĂ©. Or notre premiĂšre trame de rĂ©flexion s’est concentrĂ©e sur les transports en commun et les infrastructures d’accĂšs. D’autre part Ă  cause la mono-spĂ©cialitĂ©. On condamne les villes nouvelles Ă  des villes-dortoirs ou, Ă  l’inverse, Ă  des villes industrielles. A Zenata, nous avons trouvĂ© le juste Ă©quilibre entre rĂ©sidentiel et activitĂ© un emploi pour trois habitants. C’est le bon ratio aujourd’hui pour assurer le succĂšs d’une ville nouvelle. En crĂ©ant votre propre label Ă©co-citĂ©, avez-vous l’ambition de construire d’autres villes sur le modĂšle de Zenata ? Zenata est un projet pilote qui a Ă©tĂ© initiĂ© sur instruction royale. L’idĂ©e, Ă  travers notre rĂ©fĂ©rentiel labellisĂ©, est de rĂ©pondre Ă  la politique du roi Mohammed VI de se tourner vers l’Afrique. Nous voulons exporter ce modĂšle sur le continent africain et peut-ĂȘtre dans d’autres pays du Sud. C’est pourquoi nous avons pris en compte la rĂ©alitĂ© Ă©conomique des pays Ă©mergents, pas seulement du Maroc. A travers cette dĂ©marche d’éco-conception, nous allons pouvoir certifier des territoires et concevoir des villes dans d’autres pays Ă©mergents. Nous tenons particuliĂšrement Ă  aider les pays africains, nos pays frĂšres, Ă  construire les villes durables de demain grĂące Ă  la valise Ă  outils urbaine que nous avons créée. Le sommaire de notre sĂ©rie L’Afrique en villes » Cet Ă©tĂ©, Le Monde Afrique propose une sĂ©rie de reportages dans seize villes, de Kinshasa jusqu’à Tanger. Episode 30 La nouvelle Tanger, grand Ɠuvre de Mohammed VI Episode 29 Tamesna, une ville pas smart » du tout aux portes de Rabat Episode 28 Avec l’éco-citĂ© de Zenata, le Maroc veut crĂ©er un modĂšle pour les villes africaines » Episode 27 Mohammed El Bellaoui sur les murs ou en BD, suivez le guide Ă  Casablanca Episode 26 A Casablanca, la rue n’a pas dit son dernier mot Episode 25 On essaie de vendre aux Africains un concept de ville Ă©laborĂ© dans les confĂ©rences internationales » Episode 24 TER et couloirs de bus les projets pour dĂ©sengorger Dakar Episode 23 Les cars rapides, une institution sĂ©nĂ©galaise en sursis Episode 22 Au SĂ©nĂ©gal, un reporter-GPS dans les embouteillages de Dakar Episode 21 Ouaga, c’est tout dans le centre et rien dans les autres quartiers, mais ça va changer » Episode 20 A Ouagadougou, la mairie veut dĂ©velopper des centres-villes secondaires Episode 19 Les Abidjanais victimes des particules fines Ă  qui la faute ? Episode 18 Une star de l’architecture veut redonner vie Ă  Jamestown, quartier historique dĂ©shĂ©ritĂ© d’Accra Episode 17 A dĂ©faut de noms de rue, une appli gĂ©nĂšre des codes pour se repĂ©rer Ă  Accra Episode 16 Une journĂ©e avec Janet Adu, prĂ©sidente des bidonvilles du Ghana Episode 15 Africa Global Recycling, la PME togolaise qui transforme les dĂ©chets en or Episode 14 LomĂ© la poubelle », bientĂŽt de l’histoire ancienne ? Episode 13 Tout s’invente dans le fab lab » de LomĂ©, mĂȘme la ville de demain Episode 12 A LomĂ©, SĂ©namĂ© Koffi Agbodjinou veut transposer les codes du village Ă  la ville Episode 11 A l’école d’architecture de LomĂ©, dĂ©fense de copier les villes occidentales Episode 10 A Cotonou, l’agriculture urbaine perd du terrain face au bĂ©ton Episode 9 GrĂące Ă  la tomate, la ville nigĂ©riane de Kano se voit dĂ©jĂ  en DubaĂŻ du Sahel » Episode 8 Au Nigeria, une radio lutte contre les bulldozers dans les bidonvilles de Port Harcourt Episode 7 BangangtĂ©, la ville la plus propre du Cameroun, manque cruellement d’eau Episode 6 A Douala, les parfums mortels » de la dĂ©charge du Bois des singes Episode 5 Pour continuer de rayonner, Douala contrainte de se rĂ©inventer Episode 4 CoupĂ©e de son arriĂšre-pays, Bangui vit dans sa bulle Episode 3 Une journĂ©e avec JosĂ©e Muamba, qui rĂȘve d’une Kinoise avec des ambitions » Episode 2 MĂ©gapole insaisissable, Kinshasa croĂźt hors de tout contrĂŽle Episode 1 Un milliard de citadins dans vingt ans l’Afrique est-elle prĂȘte ? PrĂ©sentation de la sĂ©rie L’Afrique en villes » 28 Ă©tapes, 15 reporters Ghalia KadiriCasablanca, correspondance
GrĂąceau travail collaboratif, la conception et la rĂ©novation de demain seront optimisĂ©s et gagneront en rentabilitĂ© en rĂ©duisant les coĂ»ts (-15 % environ), les dĂ©lais ainsi que les malfaçons sur les chantiers. A terme, le BIM s’imposera comme une partie intĂ©grante du bĂątiment de demain, en le suivant de sa conception, son
Les CM1 ont rĂ©alisĂ© des maquettes en lien avec un projet rĂ©alisĂ© par les classes de sixiĂšme. Le scĂ©nario est le suivant la montĂ©e des eaux entraĂźne un changement dans l’organisation des villes. Les CM1 ont donc imaginĂ© comment adapter les infrastructures Ă  ce bouleversement climatique et ont rĂ©alisĂ© la maquette d’une ville du futur. Cela a Ă©tĂ© fait en lien avec un travail en gĂ©omĂ©trie sur les solides. Voici les photos des maquettes et un lien vers l’exploration de la maquette des CM1C qui ont rĂ©alisĂ© un Genialy pour lĂ©gender la maquette LaMaquette De Ville Verte Demain Plessis Robinson Maquette maison Ă©cologique maquette maison Ă©cologique maquettes d architecture maquette maison Ă©cologique maquettes d Chantiers urbains planifiĂ©s en 2022 Le chant du merle rĂ©sonne dans les arbres bourgeonnants, pas de doute, la saison des chantiers arrive. Incommodants mais nĂ©cessaires, ces travaux garantissent une qualitĂ© optimale du rĂ©seau routier. Ces modifications, menĂ©es par la Ville de Fribourg et ses partenaires, concernent la quasi-totalitĂ© des quartiers. Leur bon dĂ©roulement dĂ©pend des conditions mĂ©tĂ©orologiques. Pour Ă©viter les dĂ©sagrĂ©ments de la circulation, il est vivement recommandĂ© de favoriser les transports publics, la mobilitĂ© douce et les parkings d'Ă©change.

laqualitĂ© de vie des malades. En 2022, la Ville de La Roche-sur-Yon rĂ©itĂšre ce rendez-vous en proposant une nouvelle formule mixte. Du 1er au 8 octobre : le choix est laissĂ© aux JosĂ©phines de courir ou marcher oĂč et quand elles le souhaitent durant ce temps donnĂ©. Le 9 octobre : retour d'un Ă©vĂ©nement en physique oĂč les JosĂ©phine seront

des conceptions innovantes face aux enjeux La ville du futur fait rĂȘver. D’ici Ă  une trentaine d’annĂ©es, comment vivrons-nous ? Les espaces urbains auront-ils rĂ©ussi Ă  muter pour atteindre une alchimie parfaite avec l’environnement, les villes seront-elles plus rĂ©silientes ? Les politiques urbaines intĂšgreront-elles des dimensions sociale et environnementale en constante Ă©volution ? Autant de questions dont la rĂ©ponse nous parviendra certainement avec le temps, mais auxquelles nous pouvons nous essayer Ă  rĂ©pondre dĂšs maintenant. Nombreux sont les architectes et les urbanistes imaginant d’ailleurs dĂ©jĂ  la ville du futur 2050. Quelques architectes visionnaires sur la ville du futur 2050 Vincent Callebaut En matiĂšre de ville du futur, l’architecte Vincent Callebaut tire constamment son Ă©pingle du jeu, notamment du fait de la multiplicitĂ© de ses projets d’envergure. Une exposition “Villes 2050” a mĂȘme Ă©tĂ© tenue en 2018 au parc du Futuroscope pour prĂ©senter 19 des projets dudit architecte sur 50 dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ©s ou en cours, environ. Parmi les projets architecturaux de Vincent Callebaut La Tao Zhu Yin Yuan, une tour Ă  usage d’habitation principalement et occupant environ 50 000 mĂštres carrĂ©s. Sa structure bioclimatique et sa consommation 2 fois moins Ă©levĂ©e que les autres projets de ce type reprĂ©sentent ses particularitĂ©s, une bonne idĂ©e de ce Ă  quoi pourraient ressembler les nouvelles constructions dans la ville du futur 2050. The Gate, au Caire. Ici, 1 000 appartements, commerces et bureaux sur plus de 450 000 mÂČ de superficie ainsi que de multiples panneaux solaires et une facture Ă©nergĂ©tique diminuĂ©e de 40 % par rapport Ă  ses homologues. La Rainbow Tree ou “arbre arc-en-ciel » aux Philippines. Sur 32 Ă©tages, cette tour modulaire en bois massif est composĂ©e de plus de 30 000 plantes, un vĂ©ritable puits de carbone pour un bĂątiment Ă  empreinte environnementale positive. Paris en 2050, par Vincent Callebaut A l’image des autres projets de Vincent Callebaut, le projet Paris Smart City 2050 se veut une version plus intelligente et plus verte de la capitale, notamment par la conception de 8 prototypes de tours Ă©conomes en Ă©nergie et bioclimatiques. On parle bien Ă©videmment de tours dĂ©polluantes et solaires permettant de lutter durablement contre le phĂ©nomĂšne d’ilots de chaleur star propose la crĂ©ation de corridors Ă©cologiques, de façades Ă  base d’algues vertes pour permettre de capter le CO2 de l’air ambiant et de le stocker, de parcs verticaux, de tours maraĂźchĂšres et de balcons potagers, de ponts paysages alimentĂ©s par des Ă©oliennes et des hydroliennes
 Est prĂ©vue avec ce projet une rĂ©duction de 75 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre de la capitale. Un Paris 2050 qui fait indĂ©niablement rĂȘver, tant par son caractĂšre architectural que par son potentiel bioclimatique. Norman Foster Cet architecte de renom se distingue notamment par ses conceptions Ă©tonnantes associant Ă  la perfection innovation et dimension Ă©cologique. Il est considĂ©rĂ© comme certains comme un prĂ©curseur en matiĂšre d’architecture high-tech et a d’ailleurs reçu pour ses projets plus de 300 prix et rĂ©compenses. Pour lui comme pour les autres architectes urbanistes, la ville de demain se pense aujourd’hui, avec notamment Apple Park Cupertino, siĂšge social de la cĂ©lĂšbre marque, L’HĂŽtel de ville de Londres, Hearst tower New-York, premier building Ă©cologique, partant de l’extension d’un bĂątiment historique existant. Soulignons qu’une grande partie de ce bĂątiment provient de sources recyclables. Des modĂšles durables dĂ©jĂ  implantĂ©s dans nos villes Des airs de 2050 se perçoivent dĂ©jĂ  aujourd’hui, dans quelques villes un peu partout dans le monde. Europe du Nord, Asie
 En CorĂ©e du Sud dans la ville durable de Songdo, on compte dĂ©jĂ  40 % d’espaces verts et quasiment aucune voiture. Hong-Kong compte quant Ă  elle de plus en plus d’ilots urbains autosuffisants en Ă©nergie et l’agriculture urbaine y tient Ă©galement une place travers le monde, les rĂ©seaux de transports en commun s’étoffent et Ă©voluent vers une Ă©nergie verte. Des systĂšmes de gestion des dĂ©chets souterrains performants apparaissent. Et que dire des innovations constatĂ©es en matiĂšre d’habitat Ă©cologique et d’intelligence urbaine ? Tout cela fera sans conteste partie de la ville du futur. Pour 2050, il s’agira de faire Ă©voluer les modĂšles durables d’écoquartiers Ă  l’échelle de la ville, pour crĂ©er un Ă©cosystĂšme urbain global autosuffisant. La vie en 2050 En France et Ă  l'Ă©tranger, des objectifs clairs Penser la ville du futur 2050 ne rĂ©pond pas tant Ă  un besoin sociĂ©tal ou architectural mais plutĂŽt bel et bien Ă  un enjeu climatique fort. La crise environnementale actuelle nous amĂšne tous Ă  repenser nos modes de consommation mais Ă©galement la façon dont nous nous dĂ©plaçons et dont interagissons au sein des espaces urbains. Ceux-ci doivent donc se rĂ©inventer. D’ores et dĂ©jĂ , les multiples sommets Ă  vocation environnementale ont fait Ă©merger des objectifs clairs pour 2050 et notamment, celui de la neutralitĂ© carbone pour la France. Quelques enjeux de la ville du futur 2050 L’un des enjeux principaux des villes actuelles et futures sera de refroidir les espaces urbains pour une meilleure qualitĂ© environnementale notamment. Il s’agit de remplacer les Ăźlots de chaleur par des ilots de verdure, une verdure qui s’invite en ville Ă©galement pour des raisons liĂ©es Ă  la crise environnementale actuelle et qui n’a pas seulement vocation Ă  la dĂ©polluer mais aussi Ă  permettre Ă  la ville de cultiver des denrĂ©es. Les fermes verticales sont d’ailleurs communes Ă  tous les projets urbains futuristes pour mobilitĂ© verte permettra Ă©galement de refroidir les villes du futur en Ă©vitant de rejeter des gaz Ă  effet de serre dans l’atmosphĂšre. En France, le secteur des transports est responsable de 31 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre du quant Ă  lui, se voudra bioclimatique et connectĂ© pour des dĂ©penses Ă©nergĂ©tiques minimes voire nulles. 96HPDp.
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