Jepassais mes journées à m'occuper du bébé et de la maison et quand il rentrait le soir, mon mari ne s'en souciait pas vraiment, et c'est pour ça que je ne supportais pas cet
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardAshton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Dim 24 Juin - 1928 Le charme d'Ashton fit comme prĂ©vu son effet trĂšs rapidement. S'il Ă©tait du genre Ă  se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'il aurait parfois prĂ©fĂ©rĂ© avoir un peu de challenge, mais ce serait mentir et il n'Ă©tait pas un menteur. Le sorcier apprĂ©ciait volontiers les facilitĂ©s que la vie lui avait accordĂ© au niveau de la sĂ©duction entre autre. C'Ă©tait probablement grĂące Ă  cela qu'il avait pu rĂ©pandre aussi facilement ses gĂšnes. En mĂȘme temps ce n'Ă©tait que justice qu'il possĂšde quelques qualitĂ©s Ă©lĂ©mentaires pour contrebalancer son passĂ© sombre et mystĂ©rieux. Ce n'Ă©tait pas facile tous les jours d'avoir perdu toute sa famille dans un incident tragique comme cela avait Ă©tĂ© son cas. Heureusement que l'une de ses sƓurs avait survĂ©cu, mĂȘme si elle Ă©tait actuellement encore dans le coma en attendant d'ĂȘtre rĂ©animĂ©e pour des besoins narratifs. S'il y avait bien une chose qu'on ne pouvait pas reprocher Ă  Ashton c'Ă©tait d'avoir su aller de l'avant malgrĂ© les difficultĂ©s. Cette capacitĂ©, il la devait probablement Ă  son QI de 287 qui lui avait permis d'obtenir ses ASPICs sans mal alors qu'il avait manquĂ© la moitiĂ© de sa derniĂšre annĂ©e Ă  Poudlard. Mais revenons-en Ă  nos PrĂ©pare-toi Ă  passer la meilleure nuit de ta s'Ă©tait approchĂ©e et venait Ă  prĂ©sent de s'installer Ă  califourchon sur ses jambes. C'Ă©tait une situation qui convenait plutĂŽt trĂšs bien Ă  l'ex-Gryffondor mĂȘme s'il ne s'attendait pas Ă  ce que son regard charmeur fonctionne de maniĂšre aussi efficace. Le sang-mĂȘlĂ© trouvait cela un peu louche la rapiditĂ© avec laquelle la jeune femme avait dĂ©cidĂ© qu'il n'Ă©tait pas un danger mais elle avait beaucoup de charme et il n'allait pas s'en plaindre. Naturellement, Ashton se rapprocha d'elle avant de l'embrasser comme elle n'avait jamais Ă©tĂ© embrassĂ©e. De rien, c'Ă©tait un cadeau de sa part. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Jeu 28 Juin - 1313 Alors j'Ă©tais Ă  l'aise sur ces jambes, de toute façon nuls doutes que si il Ă©tait un danger, il me faudrait moins de trois secondes pour le plaquer au sol et le livrer aux autoritĂ©s mangemorts, parce qu'ils Ă©taient tous mes amis super dark, on se retrouvait parfois le soir sur des terrains vagues pour souffler nos mĂšches en Ă©coutant de l'opĂ©ra, le tout en fumant des cigarette Vogue aussi longue que le nez du masque de voilĂ  l'union des lĂšvres roses pĂąles et piquante que bien peut pouvaient toucher de cette façon. Parce que les embrasser c'Ă©tait comme effleurer une fleur empoisonnĂ©e. S'approcher de moi ne garantissait pas la vie, parce qu'il y avait toujours cette colĂšre noir qui grondait en moi, symbole d'une multitude de frustrations dĂ» Ă  mon enfance passĂ©e enfermĂ©e dans les bibliothĂšque Ă  accumuler beaucoup de savoir, car 'javais eu bon espoir de devenir professeur Ă  l'Ăąge de neuf ans, mais il parait que cela m'Ă©tait impossible tant que ma majoritĂ© n'avait pas Ă©tĂ© coupje me laissealleren pensant en goutteen saut de ligne parce qu'il parait que ça accentue toute ma noirceur. Son baiser est passable, mais je le rends avec d'avantage de fougue, parce qu'il lui est interdit de me surpasser dans quelque domaine que ce soit, de toute façon il se rendra bien compte un peu plus tard que cela lui est impossible. Alors en l'embrassant je cherche oĂč j'ai pu voir son visage. Puis je comprends, je me souviens. alors je commence Ă  sourire en passant son tee-shirt par dessus sa tĂȘte. Car il a au moins le mĂ©rite d'ĂȘtre tout aussi tĂ©nĂ©breux que moi. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Jeu 5 Juil - 2308 Parmi les miracles divins encore visibles au vingt-deuxiĂšme siĂšcle, on pouvait compter les fois oĂč une semaine de grand beau temps Ă  Londres s'enchaĂźnait avec une autre semaine de grand beau temps, les fois oĂč un directeur de Poudlard ne mourait pas dans des circonstances dramatiques en cours de fonction, et Ă©videmment Ashton Parker. Il essayait du mieux qu'il pouvait de rester humble malgrĂ© sa condition mais c'Ă©tait parfois bien difficile. MĂȘme pour son entourage, cela avait dĂ» ĂȘtre terriblement dur de vivre et mourir constamment dans son ombre. Il savait d'ailleurs trĂšs bien qu'Ă  sa naissance sa mĂšre avait pleurĂ© parce qu'elle savait dĂ©jĂ  qu'elle ne serait jamais meilleure que lui, la pauvre. *signe de croix en levant les yeux au ciel*Il en allait de mĂȘme pour les diffĂ©rents partenaires du sang-mĂȘlĂ©. Il lui arrivait de temps Ă  autre de prendre du bon temps mais la plupart de ses conquĂȘtes devaient avoir un arriĂšre goĂ»t amĂšre en pensant au fait qu'il ne connaĂźtraient plus jamais un aussi bon orgasme de leur vie. Parfois, lorsqu'il lui arrivait de s'ennuyer entre un mĂ©fait particuliĂšrement malicieux et une apparition publique Ă©blouissante, l'ex-Gryffondor pensait Ă  tous ces gens qui croisaient son chemin et dont la vie serait Ă  tout jamais en parlant de Gryffondor, ce n'Ă©tait pas pour rien qu'il Ă©tait allĂ© lĂ -bas puis que c'Ă©tait la maison dans laquelle on retrouvait tous les sorciers aux pouvoirs et talents hyper cheatĂ©s et agaçants comme lui. Pour en revenir Ă  l'action du moment, Ashton venait de donner le meilleur baiser de sa vie Ă  une inconnue qui le lui rendait assez acceptablement. Elle ne pouvait d'ailleurs pas s'empĂȘcher de lui enlever son t-shirt, ce qui paraissait normal puisqu'elle souhaitait admirer son magnifique torse. Le sorcier fit de mĂȘme pour le haut de la jeune femme avant de retirer son soutien-gorge en quelques instants parce qu'il Ă©tait trop douĂ© et que s'il avait voulu il aurait largement pu le faire mĂȘme sans les mains. Et puis bon il fallait bien admettre que sa conquĂȘte du soir valait le dĂ©tour. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Dim 8 Juil - 1623 Il est des choses inoubliables, Ă©blouissantes, si dĂ©concertantes qu'on oublie de les saisir dans l'instant et que l'on regrette. Il Ă©tait trĂšs clair que l'inconnu regretterait Ă  jamais de n'avoir pu me saisir et me garder Ă  ces cĂŽtĂ©s toute sont existence afin d'avoir au moins le privilĂšge de vivre dans l'ombre majestueuse qu'est la mienne. Mais je suis insaisissable, j'ai de nombreux de part mes performances exceptionnelles, mais personne ne peut toucher mon cƓur de glace. Il a Ă©tĂ© brisĂ© parun amour impossible et au moins tout aussi dramatique d'une tragĂ©die shakespearienne. VoilĂ  ses mains qui glissent sous mon haut et entreprennent de me l'ĂŽter, et je pense une seconde Ă  le prĂ©venir que mon torse pĂąle l'Ă©blouira Ă  coup sĂ»rs, tant de splendeurs que de ces cicatrices multiples qui me font paraĂźtre si badass. Il y avait en effet de quoi ĂȘtre mille fois admiratif. alors j'expose mes fĂȘlures pour montrer que j'ai beau ĂȘtre un ĂȘtre torturĂ© et sombre, je suis aussi sensible. J'ai l'air de rien des faiblesses qui cependant me prĂ©sentent toujours Ă  mon avantage trop trop sexy, trop Je suis cellui qui aurait pu inspirer le personnage de Bella Swan si j'Ă©tais Ă  la bonne Ă©poque. Le corps se fait fĂ©minin alors que les Ă©treintes continuent, disparition de la bosse contraire Ă  ce que l'on veut appeler l'ordinaire. Mais je suis parfaite, jamais trop excentrique, toute est une histoire de juste mesure. Et voilĂ  mon torse nu que je le laisse effleurer, car il n'en aura l'occasion qu'une seule fois dans sa vie. Mes mains continue Ă  parcourir son dos et son ventre, parce qu'il faut reconnaĂźtre que le dĂ©tour vaut le coup aussi de ce cĂŽtĂ©-ci. Les lĂšvres continuent Ă  chercher les siennes alors que mon pantalon tend Ă  disparaĂźtre. Il y a cette fougue Ă  vouloir exposer ses talents. profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas jamais. c'est vrai je suis sauvage au fond, j'attire les gens avec mes mystĂšres, ils frĂŽlent la glace de mon cƓur et deviennent accro Ă  moi. Meilleur façon de se crĂ©er une cour chez les Ă©lĂšves et les autres dans laquelle tout le monde se dispute mes faveurs. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 11 Juil - 1524 A prĂ©sent qu'il Ă©tait torse nu, sa partenaire pouvait admirer la grande cicatrice qu'il arborait sur le flan. Cela montrait qu'il avait du vĂ©cu de badass, qu'il ne fallait pas le chercher sinon il serait capable de se battre sacrĂ©ment violemment. Cette cicatrice il se l'Ă©tait fait en tombant de son balai en cinquiĂšme annĂ©e en combattant un ours polaire Ă  mains nues. La seule raison pour laquelle il ne l'avait pas achevĂ© Ă©tait que son espĂšce Ă©tait menacĂ©e par les moldus et qu'au fond c'Ă©tait un mec en revenir Ă  l'action qui se dĂ©roulait en ce moment mĂȘme, les vĂȘtements Ă©taient Ă  prĂ©sent bien plus prĂ©sents sur le sol que sur eux et c'Ă©tait mieux comme cela. On pouvait largement mieux admirer le corps digne d'un dieu grec d'Ashton lorsqu'il n'avait rien sur lui. Certains haters diraient que sa plastique de rĂȘve Ă©tait Ă  cent pourcent fake Ă©tant donnĂ© qu'il avait entiĂšrement remodelĂ© son apparence Ă  l'aide de la MĂ©tamorphomagie mais lui considĂ©rait que c'Ă©tait plutĂŽt l'inverse puisqu'il avait fait tout cela lui-mĂȘme simplement grĂące Ă  son Profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas n'Ă©tait pas Occlumens facultĂ© qu'il avait d'ailleurs appris en autodidacte comme un bg, Parker aurait jurĂ© que sa conquĂȘte du soir lisait dans ses pensĂ©es. Certes elle Ă©tait pour l'instant un excellent coup mais bon, de lĂ  Ă  la qualifier d'inoubliable le sang-mĂȘlĂ© ne se prononçait pas Ă©taient Ă  prĂ©sent passĂ© aux choses sĂ©rieuses et Parker envoya balader d'un geste de la main les cousins qui encombraient le canapĂ© afin qu'ils aient la place de s'y Ă©taler. Tout en embrassant fougueusement la propriĂ©taire des lieux, le sorcier changea de position pour se retrouver au-dessus d'elle. Il devenait difficile de rĂ©flĂ©chir dans le feu de l'action mais en parlant d'inoubliable, la personne collĂ©e Ă  lui commençait Ă  lui dire quelque chose. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 23 Juil - 103 tw - sexeLA de Ashton accordĂ©Les choses s'accĂ©lĂšrent et j'en ai presque la tĂȘte, tant ça fait longtemps que je ne l'ai pas fait avec quelqu'un capable de satisfaire mes dĂ©sir si Ă©levĂ©s. Alors quand tu bascules au dessus de moi en m'embrassant, je comprends. Il y a quelque chose dans ta gestuelle que je connais dĂ©jĂ  mais que je ne comprendrai que plus tard. Parce que pour l'instant y a mon dos qui se cambre alors que tes lĂšvres descendent parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas occupĂ© de moi ainsi. Le cou, le ventre, tes lĂšvres suivent le cours de la cicatrice jusqu'Ă  mon aine, puis descendent plus bas encore. Comme si ta bouche avait le don de lire et que je sois ton livre favori. Trouve la page que tu prĂ©fĂšres dans la douceur de mon Ă©crin et lis-la attentivement, avec fluiditĂ© aisance et enthousiasme. Ne t'avise pas d'omettre un seul mot et je jure que le dĂ©nouement sera exquis. Les mots vont jaillir, recouverts de miel ambre. Couler sur tes lĂšvres. Et quand tu n'en pourras plus assieds-toi. Parce que ce sera mon tour de jouer de la musique avec toi, les genoux comme souvent s'Ă©gratignant au sol. Mais avant que je me redresses, alors que tu seras assis, il y aura l'interrogation unique un Parker ? entrecoupĂ© par le souffle saccadĂ©. Parce qu'il n'y avait qu'une seule personne capable de m'Ă©galer dans tout ce qui touchait au plaisir charnel. Je le savais. Et puis cent fois sur le mĂ©tier, je remettrai mon ouvrage, mes lĂšvres trouvant Ă  leur tour ton corps, en dessinant les contours d'abord pour mieux saisir et comprendre la complexitĂ© de cette nouvelle apparence. Je te trouverai mieux comme ça, il y avait d'avantage de douceur dans tes yeux, d'avantage de courbures sur tes hanches. Alors je descendrai encore, te rendant la monnaie de ta piĂšce, les lĂšvres dociles et agiles, et malgrĂ© la rĂ©pĂ©titions des gestes une nuit aprĂšs l'autre sur des inconnus avides d'eux mĂȘme, il y aura ce soir la rĂ©elle envie de te donner du plaisir. Parce qu'avec toi il y aura l' que je garde un excellent souvenir de notre derniĂšre nuit ensemble. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 29 AoĂ» - 1803 LA de Shae pour clĂŽturerIl devenait Ă  prĂ©sent difficile pour Ashton de garder la tĂȘte froide, malgrĂ© son QI exceptionnel on pouvait quand mĂȘme dire qu’à prĂ©sent la majeure partie de sa rĂ©flexion s’effectuait avec son entrejambe. Il avait cependant la satisfaction de voir que sa partenaire semblait apprĂ©cier ce qu’il faisait, preuve qu’il n’avait pas perdu la main et qu’il Ă©tait toujours le meilleur coup du pensĂ©e persistait pourtant dans l’esprit du MĂ©tamorphomage. Il avait comme une sensation de dĂ©jĂ  vu bien qu’il soit certain de n’avoir pas rencontrĂ© l’inconnue avant ce soir ; quelqu’un comme ça ne s’oubliait certainement pas. C’est alors que, au milieu de l’action qui unissait leurs corps, elle prononça son nom bien qu’il Ă©tait certain de ne pas lui avoir donnĂ© plus tĂŽt. Et soudain cela fit clic dans son esprit, les piĂšces du puzzle s’assemblant Keats ? demanda-t-il dans un fois leurs Ă©bats terminĂ©s, alors qu’il reprenaient leurs esprits, toujours allongĂ©s sur le canapĂ©, la propriĂ©taire de l’habitation lui expliquait qu’elle Ă©tait bel et bien la personne qu’il connaissait auparavant sous le nom de Leo. CoĂŻncidence incroyable c’est fou comme le monde est petit ! elle Ă©tait aussi MĂ©tamorphomage et se prĂ©nommait Ă  prĂ©sent Shae. Bien Ă©videmment Ashton lui expliqua Ă©galement ce qu’il lui Ă©tait arrivĂ©. Tout compte fait le destin avait bien fait les choses et il Ă©tait ravi d’avoir recroisĂ© la route de du RP Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 12 Nov - 1129 Pv FilsLa nuit n'est jamais complĂšte, au bout de chaque antre bleue se reflĂšte une fenĂȘtre. Rebord de bronze, ou de rouille, on a oubliĂ© depuis le temps, mais peu importe. Il y a au bout de la nuit, juste aprĂšs un Ă©niĂšme mauvais rĂȘve du chiard, une ouverture sur le dehors. L'extĂ©rieur guĂšre plus clair que ne l'est la luciditĂ© matinale, obscurcie par la fumĂ©e que crache Ă  pleins poumons la cheminĂ©e dĂ©laissĂ©e depuis le retour sur le sol fenĂȘtre Ă©clairĂ©e oĂč un rĂȘve veille toujours. L'Ăąme vivante se rĂ©approprie peu Ă  peu les lieux. Les murs s'imprĂšgnent de la nouvelle maĂźtresse du fort alors que rien n'est officiel. Il n'y a que l'odeur du dimanche matin hivernale, du froid et de cendres sur la petite bourgade dont le corps exquis n'Ă©tait pas encore parvenu Ă  franchir le seuil. Deux ans et demi trop tard. L'existence du hasard prĂ©fĂ©rĂ©e aux rendez-vous, j'attendais, un quart de thĂ© sur les lĂšvres, le dernier sur les genoux. Le jour pĂąle ne tarderait plus, mais nul bambin Ă  enterrer Ă  l'aube. À l'heure oĂč blanchit la campagne il ne se passera rien, les drames se sont volatilisĂ©s entre moi et ici. Il y a pleus qu'une nouvelle routine Ă  se forcer Ă  avaler, jusqu'Ă  en trouver le goĂ»t un tant soit peu supportable. La crainte du matin a remplacĂ©e le dimanche soir. ÂpretĂ© des lever du jour, sans comprendre pourquoi lui se lĂšve quand l'autre tombe passĂ© dix-sept heures. Le nuit guillotine qui s'abat sur la conscience et berce dans un pays oĂč les paroles n'ont plus lieux d'ĂȘtre. La communication imagĂ©e, et rien n'a la moindre importance. Porte d'Ă©bĂšne refusĂ©es Ă  l'Ă©phĂšbe, assis sur sa chaise, un thĂ© en main. Celle qui ce matin se contentera des cendres, de la nausĂ©e dĂ©licieuse de n'avoir point assez dormi. La gueule de bois sans avoir bu et les dĂ©lices de la sobriĂ©tĂ© fragile et toute nouvellement acquise. Le manque-chaleur, le manque fournaise, l'impression que le creux remplace l'oxygĂšne. Et le Hodor le fils perdu. Perdu en mĂȘme temps que le miroir. Le Pinnochio joueur noyĂ© dans les Ă©clats de verres. Le fils Ă  qui l'on aurait dĂ» dire, mais Ă  qui on ne dira pas. La peur d'en mourir pour des mots prononcĂ©s bien trop bas. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mer 12 DĂ©c - 2133 SURFACE DURE — pv. dans les rues de PrĂ©-au-Lard comme si c'Ă©tait Paris, New York ou Copenhague. Les briques rouges se remplissent de brume Ă  la javel et blanchissent lorsqu'on les passe Ă  la lumiĂšre du crĂ©puscule. La lune danse sous les Ă©toiles ce soir. DĂ©but de soirĂ©e. Une bouteille vide de whisky traĂźne comme un vieux mort entre les pavĂ©s et la bouche d'Ă©gout. — Il y a un Ă©norme fossĂ© entre ce que l'on est et ce que l'on croit espoirs de retrouver son ElhĂ«na vont de dĂ©sillusions en dĂ©sillusions. Il sait qu'elle a irrĂ©mĂ©diablement changĂ©, qu'elle n'est plus du tout comme avant et pourtant, il se l'accorde pour la premiĂšre fois c'Ă©tait peut-ĂȘtre une erreur. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a pas l'air d'ĂȘtre peinĂ© par cette sensation si terrible, suffocante et terrifiante. Non. Plus rien ne le traĂźnera vers le fond, parce qu'il y a passĂ© tout son temps et qu'il sait comment sortir de lĂ . Le visage aussi froid qu'un glaçon de neige, le regard et la mĂąchoire qui se durcissent. Les yeux qui croisent une lumiĂšre brisĂ©e Ă  travers la vitre d'une habitation qu'il croyait abandonnĂ©e depuis des pour l'intrusplutĂŽt que le sixiĂšme annĂ©e sort sa baguette, une nouvelle d'ailleurs, qu'il a renommĂ©e Ontamo. Celle qui créé. Celle qui sculpte. De sa main d'artiste, la crĂ©ation est nĂ©e. Elle est aussi spĂ©ciale que lui, aussi unique. Aussi Ă©lĂ©gante. Aussi dĂ©licate et redoutable Ă  la fois. L'esthĂ©tisme est assez incroyable, entre le cƓur et le corps. Traverser le portail Ă  pas de chat. De son autre main, il rentre par effraction avec son canif magique - place Ă  l'humeur fracassante. La tempĂȘte. Qui risque d'Ă©clater, dans la salle Ă  tĂȘteUne tĂȘte bien trop connue pour ĂȘtre sienne est une surface comme un bout de bois, de glace ou d'effroi masque de tufais lĂ . Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Mer 26 DĂ©c - 1455 Le serment a en soit Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©. Nulle dĂ©rogation aux mots ni aux attentes DisparaĂźtre n'est pas trahir. C'est s'Ă©carter, laisser la place Ă  une autre entitĂ© qui supporte les matins d'hiver. Qui n'utilise pas la vapeur de son thĂ© comme paravent pour se cacher du monde. Nul refuge non plus derriĂšre l'Ăąpre de la cigarette Ă  moitiĂ© consumĂ©e. Celle qui outrepasse Ă  peine ses droits en se rĂ©pandant en miettes de soi dans l'atmosphĂšre. Ostensoir improvisĂ© pour cĂ©lĂ©brer un retour Ă  une vie dans laquelle l'ĂȘtre se cantonne. Le gris avale tout sur son passage, bientĂŽt recouvert de couleurs froides alors que l'aube point. Insupportable de lenteur. Une fois le soleil apparu, tout sera plus simple. La maisonnĂ©e insupportable de silence s'animera un peu. Mais il y a un silence religieux dans l'attente de la vie et du rĂ©veil des paysages. Un silence que la voix qui s'Ă©trangle dans la gorge ne parvient Ă  briser. Qu'accompagne la nausĂ©es des nuits trop blanches lorsque les jours noirs sont refusĂ©s par les qu'on aura tout le temps de rattraper ses nuits une fois les deux moustiques lĂąchĂ©s au monde. Il ne neige plus sur les tables non plus, la sobriĂ©tĂ© accompagnĂ©e d'une rĂ©alitĂ© fade. Plus de poudreuse ni de flocons survivants au milieu des traces de doigts. Ne plus confondre les molĂ©cules avec l'atmosphĂšre. Il semblerait qu'il s'agisse de grandir. Ne plus se perdre dans la poussiĂšre de l'autre bout d'un monde. Et commencer Ă  bĂątir dans la qui grince- tranche en pointe mĂ©tallique dans le silence gris et vie. vie qui s'immisce par la porte quand on ne l'attend plus. Celui Ă  qui on a pensĂ© mais Ă  qui on a rien dit. Ne pas trop savoir quelles excuses prĂ©senter. IncapacitĂ© Ă  dire le vrai car admettre avoir voulu tendre une main que l'on a toujours prĂ©sentĂ© tremblante sous ce visage-ci. Question Ă©vidente et rĂ©ponse tout autant. On est rentrĂ©s. Les gosses se construisent pas tous seuls. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Lun 7 Jan - 1341 SURFACE DURE — pv. est surpris mais il ne le montre pas. Il n'est plus du genre Ă  laisser ses pensĂ©es intĂ©rieures immerger son visage pĂąle. L'envie de tout lui balancer Ă  la gueule aussi, qui le prend aux tripes. Une nausĂ©e qui survient - tant par la colĂšre que pas la douleur. La douleur d'une perte. D'une absence. Parce qu'iel Ă©tait sans accord, sans rien et sans bruit dans la nuit morte. Laissant derriĂšre iel, deux pauvres employĂ©s aux Trois Balais. C'Ă©tait pas censĂ© ĂȘtre un cocon familial, ce truc ? Tout Ă  l'air plus triste ici. Une maison laissĂ©e forcĂ©ment Ă  l'abandon pendant tout ce temps. Et les petits, dorment-ils sur de la paille ? En tout les cas, ils sont toujours bien vivants, bien lĂ . Les gosses ne se construisent pas tout seuls et pourtant, iel avait fait son choix Ă  l'Ă©poque, de fuir l'Ă©tablissement, le village, la rĂ©gion, le pays et toute cette m*rde qui colle Ă  la peau. — Depuis quand ? Depuis quand sont-ils revenus ? Ce n'est que la premiĂšre fois qu'il voit de la lumiĂšre par ici, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si quelque chose clochait. N'Ă©tait pas normal. Une Ă©trange lumiĂšre. Une lumiĂšre sans vie. Malsaine. Hypocrite. Qui attend quelqu'un, quelque chose, un espoir. Inexistant. Il bouillonnait Il bouillonnait sur placecomme une marmiteun chaudron aux parois lisses et douteuses qui ne laissentparaĂźtre aucune rĂ©flexion. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 18 FĂ©v - 2214 Retrouver l'enfant prodige coincĂ© entre les aiguilles d'un matin gris, d'une nuit blanche et d'un jour noir. Poser la tasse un peu plus loin parce que les paratonnerres ont Ă©tĂ© laissĂ© lĂ -bas, oĂč que cela puisse ĂȘtre. L'envie d'incarner un instant un philippides, de fuir les non-mots Ă©lectrique que la nausĂ©e et les silences portent, se fait sentir. Mais l'aller-simple pour l'ailleurs n'a mĂȘme pas rĂ©ussi Ă  se suffire. Il a fallu courir, en sens arriĂšre, pour venir remonter l'horloge qui elle n'a jamais pu s'ancrer ailleurs. Les respiration paisibles de l'Ă©tage ramĂšne les considĂ©rations Ă  des tons plus bas, et si elle s'en rĂ©jouit elle n'en dira rien, il n'y a plus d'Ă©nergie pour les cris, les Ă©clats de cĂ©ramiques sur la langue. Nul avis Ă  attendre concernant un choix qui n'appartient qu'aux trois branches du mĂȘme saule dĂ©racinĂ©. Electron libre, qui tente toutes ses folies avant de fixerl'inavouablel'idĂ©al de sagesse. User les souliers, perdre la muse, elle se perd en mille barrage de liĂšge et oublie le tronc mĂȘme de la ronce, la prĂ©sence de l'enfant qu'il faudra cesser de voir comme tel. Car les grains s'amenuisent et les esprits changent, elle rĂ©alise qu'elle ne connait plus ce qu'elle n'a jamais prĂ©tendu connaĂźtre. Elle s'interroge sur les crises de fronts, si l'enfant Ă  rĂ©ussi Ă  prendre soin sans l'ombre pantin qui l'entourait. L'ombre malsaine mais qui crĂ©e des monstres de terre pour remplacer les autres en vain. L’Ɠil unique du loup ne parvient Ă  saisir l'histoire que les interrogations envoient. Et l'interpellation muette reste en suspend. ÉniĂšme piĂšce de Beckett, bien que l'envie de rejouer les beaux jours se perde en idĂ©aux plus confortables. Mais le silence couvre la scĂšne de son suaire que le regard ne supporte pas. Et il y a dans les fondations mĂȘmes des liens quelques chose qu'elle n'a pas su prĂ©server. Les voĂ»tes d'ogives se sont peu Ă  peu Ă©miettĂ©es en remords d'un cĂŽtĂ© et en reproches de l'autre. Bien trop peu de temps. Mais l'esprit du vaisseau-mĂšre n'est pas reconnu pour sa rapiditĂ©. Et les rĂ©alisations mettent un temps Ă  prendre leur sens. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 14 Mar - 2031 SURFACE DURE — pv. regard livide. TĂȘte penchĂ©e. Le cerveau ne fonctionne plus comme avant, le cƓur non plus. L'Ăąme s'est modelĂ©e diffĂ©remment, en une sorte de coulis de miel gĂ©nĂ©reux et mallĂ©able. Plus rien ne lui ressemble. La colĂšre lui grimpe des chevilles aux racines de cheveux clairs - sans en Ă©mettre le son vulgaire. Une formule qu'on dit bien trop souvent. Il a cette incapacitĂ© Ă  assumer ses Ă©motions, bien plus que ses actes. Un roman dĂ©cousu, voilĂ  leur relation Ă©tablie jusqu'Ă  maintenant. Qu'en est-il du Leo de jadis ? Qui riait dans les couloirs de l'Ă©cole. À outrance. Qu'en est-il de ce grand garçon qui lui a tout appris lors de son intĂ©gration ? Qu'en est-il du parrain spirituel qu'il avait rĂ©ussi Ă  trouver au dĂ©but ? Et du directeur de maison ? Du concierge ou du gardien ? De son ami ? Qu'est-il devenu ? Pourquoi est-il si Ă©tranger aujourd'hui ?Le rythme cardiaque dĂ©cĂ©lĂšre au fur-et-Ă  mesure de la conversation absurde. Elle se fait sourde et muette, Beethoven et l'enfant pauvre boivent tous deux leurs paroles insensĂ©es. Il n'y a plus grand chose Ă  dire parce qu'il n'y a plus grand chose Ă  faire. Je pense que je vais partir. Allait-il seulement rĂ©agir ? Re [Habitation] The Sphinx's RiddleContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Jene supporte aucun organe de presse en particulier et quand bien mĂȘme Comparer les subventions accordĂ©s par l'Ă©tat et un financement intĂ©gral (Ă©norme d'ailleurs) payĂ© par les impots est d'une malhonnĂȘtetĂ© intellectuelle abyssale Lorsque vous ĂȘtes en couple vous avez tendance Ă  attendre de votre partenaire que ce dernier ou cette derniĂšre effectue certains gestes tendres envers vous, pour vous faire plaisir. Il s’agit d’une rĂ©action tout Ă  fait logique quand vous vivez une relation amoureuse nĂ©anmoins cela doit se faire dans les deux sens. Les gestes d’amour sont trĂšs importants et ne doivent pas se faire rares dans un couple car la tendresse tout comme la proximitĂ© sont des clĂ©s de l’épanouissement et de la complicitĂ© et malheureusement de nombreuses personnes l’oublient. En plus de le rappeler verbalement Ă  son partenaire que l’on tient Ă  lui/elle il est nĂ©cessaire de lui apporter davantage. Les signes d’affections dans le couple ne sont pas simplement des gestes de gentillesse mais ce sont aussi le reflet de votre amour pour celui ou celle qui partage votre vie. L’importance de la tendresse dans un couple Beaucoup de personnes ne se rendent pas compte que les signes d’affection dans le couple sont d’une importance capitale et qu’il ne faut pas les nĂ©gliger. Demandez-vous un instant ce qui diffĂ©rencie les simples amis du couple. Comment un couple peut se diffĂ©rencier dans la foule ? Tout simplement par des gestes de tendresse l’un envers l’autre. C’est la preuve de votre amour, que vous ĂȘtes dans une relation. De plus les moments d’affections dans le couple peuvent vous permettre de surmonter les pĂ©riodes difficiles. Les bras de son partenaire sont un moyen de se sentir rĂ©conforter quand on en ressent le besoin. C’est donc votre implication dans la relation qui est reflĂ©tĂ©e Ă  travers les signes d’affection dans le couple. Vous pouvez rassurer votre partenaire sur les sentiments que vous lui portez. Car si la prĂ©sence de gestes tendres est positive, leurs absences peuvent avoir des consĂ©quences nĂ©gatives sur le couple. Votre partenaire pourrait le prendre comme un manque d’amour, une baisse des sentiments ». Les diffĂ©rents signes d’affection dans le couple Comprendre la dĂ©finition de l’affection est important pour savoir quels sont les meilleurs signes d’attention Ă  faire Ă  votre conjointe. L’affection c’est bien sĂ»r les bisous, les cĂąlins, les mots doux susurrĂ©s Ă  l’oreille de son partenaire. Mais ce n’est pas tout vous pouvez vous montrez plus proche de celui ou celle qui partage votre vie. Il y a aussi une maniĂšre moins directe » pour avoir des signes d’affections dans le couple. Mais dans ce cas, il s’agit plus d’attitudes ou d’un comportement. Ce ne sont pas seulement des gestes mais bien une maniĂšre de se comporter avec votre partenaire. Les signes d’affections dans le couple ne sont donc pas uniquement tactiles. Il faut ĂȘtre Ă  l’écoute, disponible, s’intĂ©resser Ă  ce que vous raconte votre moitiĂ©. Toutefois, bien que les signes d’affection dans le couple soient importants il ne faut pas non plus en abuser car ils pourraient alors se retourner contre vous. Ne rĂ©clamez pas des bisous ou des messages Ă  chaque instant Ă  votre partenaire, la surprise et surtout le naturel sont nĂ©cessaires et il faut donc Ă©viter de tomber dans une forme de routine affective. Amicalement, Votre conseiller pour saisir l’importance des signes d’affection dans le couple Alexandre CORMONT Jene suis pas brisĂ© en fin de compte, j’ai le cƓur juste abĂźmĂ©, et je peux m’en remettre. Je sais que je le peux. Tandis que les mains de Paul me caressent distraitement le dos, je croise le regard de quelqu’un qui me rend mon regard. Celui d’Edward. Il a l’air Ă©tonnĂ© de me voir dans les bras d’un autre.
Bonjour, J'ai 33 ans, mariée, maman de 3 enfants 9ans, 6 ans et 11 mois . Mon mari ne boit pas au quotidien, il est d'un naturel plutot impulsif mais calme et gentil . Il est une personne trÚs angoissée peur qu'il nous arrive quelquechose, a moi ou aux enfants, peur de la mort, il est trÚs stressé par son travail...par exemple Mais quand il boit, quand on a une soirée ou un repas, malgré mes avertissements quand je sens qu'il est a sa limite car cela se produit tout de meme de maniere réguliere et je commence a connaitre ses limites il continue bien souvent et là c'est la grande débandade, il boit a n'en plus finir et il change completement de personnalité, il se bat meme avec des membres de la famille qu'il apprécie il dit aux enfants qu'il ne les aime pas, il se met dans des situations a risque comme prendre la voiture par exemple il est comme possédé, les yeux pleins de haine et de rage. Cela s'est reproduit il y a 4 jours lors d'un diner chez nous et il s'est battu avec son beau frere, avec les voisins venus nous aider à les separer, j'ai du appeler les gendarmes car on ne maitrisait plus la situation...dans la bagare j 'ai recu des coups et les enfants ont tout vu et ont été trÚs choqués par tout cela. il a meme pris un couteau et voulais se faire le voisin, heureusement les gendarmes sont arrivés et sont intervenus alors que j'essayais de le désarmer... Bref, vous voyez le genre de dérives que l'alcool peut engendrer... Le lendemain , il ne se souviens de rien ou presque, mais il sait qu'il nous a fait du mal , psychologiquement car il ne s'en prend jamais a nous volontairement aux enfants et a moi, il dit que c 'est fini, qu'il ne boira plus...mais au bout d'un certain temps ca fini toujours par recommencer et on souffre a chaque fois et on fini par pardonner... Je ne sais plus quoi faire pour agir, dans un sens je veux proteger les enfants de ce genre de choses , dans un autre , je veux l'aider mais je suis decouragée car ca fini toujours par recommencer...j'aime mon mari d'un amour profond et sincere, mais j'en arrive a me dire que je prefere vivre san slui que de revoir cette haine dans ses yeux Croyez vous que l'alccol n'est pas le probleme principal , ou du moins pas le seul? Les angoisses n'ont elles pas un role dans tout cela? qui consulter? psychologue? alcologue? Il se rend compte du probleme et s'en veut enormement et sent qu'il est en train de nous perdre , il veut trouver une solution...par quel bout prendre le probleme? Par avance merci de vos témoignages, conseils...
Afinque vous restiez ensemble ou de vous reconquĂ©rir si vous ĂȘtes sĂ©parĂ©s,ou tout simplement parce qu’il/elle est « trop mal », il/elle vous menace ou adopte des comportements Ă  risque. Il cherche Ă  vous culpabiliser et fait un vĂ©ritable chantage affectif, un chantage au suicide. Cette perspective de tentative au suicide est 36 Je suis pas pieuse , mais je suis MĂŒslim C tt ce que je sais Et moi aussi... maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  te montrer mĂ©prisante si on ne partage pas ton avis, c'est dommage. 37 Si tu te considĂšres comme un modĂšle de piĂ©tĂ© et que cela te donne le droit de juger, fais attention Ă  l'orgueil. Ce n'est pas grave, laisse-la Ă©venter sa rage. 38 Ce n'est pas grave, laisse-la Ă©venter sa rage. C'est quand mĂȘme triste, ce post parle d'amour / 39 Et moi aussi... maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  te montrer mĂ©prisante si on ne partage pas ton avis, c'est dommage. Je t'ai donne mon conseil + haut Une musulmane a interdiction d'ĂȘtre avec un non musulman Mais bien entendu tu fais ce que tu veux C ton jour du jugement, pas le mien . 40 marok Et moi aussi... maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  te montrer mĂ©prisante si on ne partage pas ton avis, c'est dommage. Non mais tu disais etre attachĂ©e Ă  ta religion au dĂ©but ?! 100% tu es CunĂ©gondeeeeeuh 41 C'est quand mĂȘme triste, ce post parle d'amour / Attends ba3da tu es mĂȘme pas sure qu'il te kiff le gars ... Et quoi si c'est du fĂ©tichisme et il veut juste t'ajouter Ă  son tableau de chasse 42 Elle est juste frustrĂ©e car kilimini l'a dĂ©masquĂ©e et elle s'est dĂ©masquĂ©e elle-mĂȘme avec son couple imaginaire. Sinon mise Ă  jour, je ne fume plus, je vapote! Son marriage Ă  l'air vrai quand mĂȘme , pourquoi il pense que c'est faux ? Et tu fais les autres trucs.... mentionnĂ© plus haut ??? 43 Je t'ai donne mon conseil + haut Une musulmane a interdiction d'ĂȘtre avec un non musulman Mais bien entendu tu fais ce que tu veux C ton jour du jugement, pas le mien . Tu crois que Dieu va me brĂ»ler en enfer parce que je suis tombĂ©e amoureuse d'un non-musulman? Qu'Il va me chĂątier d'avoir cĂ©dĂ© Ă  la tentation parce que je ne supporte plus le cĂ©libat qui je le rappelle m'est imposĂ© Ă©tant donnĂ© que les musulmans que j'ai PERSONNELLEMENT je ne fais pas de gĂ©nĂ©ralitĂ© rencontrĂ© m'ont traitĂ©e sans la moindre affection et intĂ©rĂȘt. Ils m'ont traitĂ©e tel un objet devant se soumettre Ă  leur moindre caprice sous couverts de traditions Ă  observer scrupuleusement pour ne pas mettre Ă  mal leur pseudo identitĂ© fantasmĂ©e. 44 C'est quand mĂȘme triste, ce post parle d'amour / On dit en arabe ÙŰ§Ù‚ŰŻ Ű§Ù„ŰŽÙŠŰŠ Ù„Ű§ يŰčŰ·ÙŠÙ‡ Traduction littĂ©rale "Celui qui ne possĂšde pas/a perdu une chose, ne peut pas la donner" Tu ne peux pas t'attendre Ă  de l'amour de la part d'une personne qui n'en a pas une once dans le coeur. 45 Son marriage Ă  l'air vrai quand mĂȘme , pourquoi il pense que c'est faux ? Et tu fais les autres trucs.... mentionnĂ© plus haut ??? Pour la baizze comme elle dit, qu'elle rapporte des tĂ©moins. Sinon, 80 coups de fouets au derriĂšre pour diffamation! Je veux bien assumer des choses mais qu'on dise la vĂ©ritĂ© de moi, bordel! Ah, et je bois occasionnellement, c'est un secret de polichinelle sur bladi, puisque c'est moi qui l'a toujours dit. Autre chose? 46 marok Non mais tu disais etre attachĂ©e Ă  ta religion au dĂ©but ?! 100% tu es CunĂ©gondeeeeeuh En fait, tu vas m'associer Ă  toutes les intervenantes de ce forum qui t'ont offensĂ©? 47 Je t'ai donne mon conseil + haut Une musulmane a interdiction d'ĂȘtre avec un non musulman Mais bien entendu tu fais ce que tu veux C ton jour du jugement, pas le mien . J'avoue c'Ă©tait un conseil que tu lui donnais comme elle disait ĂȘtre attachĂ©e Ă  sa religion.... Maintenant c'est dur d'imaginer quelqu'un cuisiner du porc, faire la priĂšre et puis aller dormir Ă  cotĂ© de quelqu'un qui a bu ume biere avant d'aller dodo et puis se reseller pour fjar? Enfiiiiiiiinnnnnn oui elle est surement musulmane d'origine 48 Pour la baizze comme elle dit, qu'elle rapporte des tĂ©moins. Sinon, 80 coups de fouets au derriĂšre! Ah, et je bois occasionnellement, c'est un secret de polichinelle sur bladi, puisque c'est moi qui l'a toujours dit. Autre chose? Mais mais mais pk tu boiiiiis ? Je pensais que tu habitais au bled ? Tu viens de Casa? 49 Attends ba3da tu es mĂȘme pas sure qu'il te kiff le gars ... Et quoi si c'est du fĂ©tichisme et il veut juste t'ajouter Ă  son tableau de chasse Ben je verrai bien avec le temps... son empressement et ses gestes trahiront ses mauvaises intentions. 50 Mais mais mais pk tu boiiiiis ? Je pensais que tu habitais au bled ? Tu viens de Casa? J'ai dit occasionnellement, je ne suis pas alcoolique pardi! Rien de mieux qu'un bon petit Mojito ou une biĂšre toute fraĂźche en Ă©tĂ©. Pour les temps plus doux, un bon verre de vin rouge, miaaam! 51 En fait, tu vas m'associer Ă  toutes les intervenantes de ce forum qui t'ont offensĂ©? non elles m'ont pas offensĂ©es lol mais ton discours ressemblent un peu au leur, quoi que CunĂ©gonde Ă  l'air dans le dine quand mĂȘme 52 J'ai dit occasionnellement, je ne suis pas alcoolique pardi! Rien de mieux qu'un bon petit Mojito ou une biĂšre toute fraĂźche en Ă©tĂ©. Pour les temps plus doux, un bon verre de vin rouge, miaaam! Bon la c'est trop pour moi a willliiiii , c'est quoi toutes ces vĂ©ritĂ©s j'Ă©tais pas pret loool tu as quittĂ© la religion ? 53 J'avoue c'Ă©tait un conseil que tu lui donnais comme elle disait ĂȘtre attachĂ©e Ă  sa religion.... Maintenant c'est dur d'imaginer quelqu'un cuisiner du porc, faire la priĂšre et puis aller dormir Ă  cotĂ© de quelqu'un qui a bu ume biere avant d'aller dodo et puis se reseller pour fjar? Enfiiiiiiiinnnnnn oui elle est surement musulmane d'origine Donc pour toi, tu rĂ©duis Ă  cela les non-musulmans, tu ne les vois pas comme des personnes Ă  part entiĂšre, auprĂšs desquels il est possible de s'Ă©panouir et d'ĂȘtre heureux? 54 Son marriage Ă  l'air vrai quand mĂȘme , pourquoi il pense que c'est faux ? Et tu fais les autres trucs.... mentionnĂ© plus haut ??? DĂ©jĂ  si le mec existe, elle n'est pas mariĂ©e lĂ©galement, c'est juste du concubinage. En soi, comme je suis quelqu'un qui se mĂȘle de ses affaires, ça ne me dĂ©range pas mais je n'aime pas les faux-cuuls non plus. Il faut assumer ses choix, bon sang! 55 Donc pour toi, tu rĂ©duis Ă  cela les non-musulmans, tu ne les vois pas comme des personnes Ă  part entiĂšre, auprĂšs desquels il est possible de s'Ă©panouir et d'ĂȘtre heureux? Ben si mais le style de vie est diffĂ©rent , donc voilĂ  regarde la femme dont Zayna a parlĂ© elle a pas supportĂ© elle a divorcĂ© et l'autres ben elle fait avec 56 non elles m'ont pas offensĂ©es lol mais ton discours ressemblent un peu au leur, quoi que CunĂ©gonde Ă  l'air dans le dine quand mĂȘme Mais quel discours? ArrĂȘte de faire des gĂ©nĂ©ralitĂ©s. Ici, je parle du fait que j'ai eu un coup de cƓur pour un homme... 57 Bon la c'est trop pour moi a willliiiii , c'est quoi toutes ces vĂ©ritĂ©s j'Ă©tais pas pret loool tu as quittĂ© la religion ? Non, je suis toujours musulmane wa l7amdoulillah! L'islam est beau et Allah est dans mon coeur jusqu'au dernier souffle dans cette vie, en espĂ©rant ĂȘtre appelĂ© vers Lui satisfaite et apaisĂ©e, pourquoi quitter cette belle religion? Soomy Please leave a message after the tone
 58 Salam/Bonjour, Je souhaiterais vos conseils svp. Avez-vous dĂ©jĂ  eu une relation avec un blanc non-musulman? En fait, je suis attirĂ©e par un homme et aimerais savoir comment lui expliquer que je suis musulmane, que j'ai certaine valeurs sans que ça le bloque? Sans que ça le bloque de faire quoi ? Il manque un passage dans ton texte 59 Ben si mais le style de vie est diffĂ©rent , donc voilĂ  regarde la femme dont Zayna a parlĂ© elle a pas supportĂ© elle a divorcĂ© et l'autres ben elle fait avec Justement, il faut parler des valeurs. Il y a des gens qui choisissent une autre religion par "haine" de leur religion familiale ou qui deviennent athĂ©e par "haine" de ce qui leur a Ă©tĂ© enseignĂ©. Une personne qui a fait un choix responsable ne va pas s'amuser Ă  insulter les croyances des autres, surtout celles de son/sa conjointe. 60 Ben si mais le style de vie est diffĂ©rent , donc voilĂ  regarde la femme dont Zayna a parlĂ© elle a pas supportĂ© elle a divorcĂ© et l'autres ben elle fait avec Tu fais encore une gĂ©nĂ©ralitĂ© partant d'un postulat concernant 2 individus athĂ©es. Je ne me justifierai plus Ouldblad. 61 Sans que ça le bloque de faire quoi ? Il manque un passage dans ton texte Sans que ça le bloque d'ĂȘtre avec elle. C'est cela le passage qui doit ĂȘtre discutĂ©, craindre le rejet pour ce qu'on est, nos croyances, pas mes choix de boissons, maarde! 62 Sans que ça le bloque de faire quoi ? Il manque un passage dans ton texte Ben par exemple, si je veux prendre mon temps avant d'avoir une relation sexuelle. Ou si je ne souhaite pas qu'il y ait d'alcool ou de porc Ă  la maison si on n'habite ensemble... Qu'il accepte mes pratiques ... 63 Mais mais mais pk tu boiiiiis ? Je pensais que tu habitais au bled ? Tu viens de Casa? Les bledardes qui se la jouent occidentales mdrrr 64 Ben par exemple, si je veux prendre mon temps avant d'avoir une relation sexuelle. Ou si je ne souhaite pas qu'il y ait d'alcool ou de porc Ă  la maison si on n'habite ensemble... Qu'il accepte mes pratiques ... Beaucoup de non-musulmans ne boivent pas d'alcool. Pour le porc, je ne comprends pas en quoi cela est "haram" de l'avoir Ă  la maison, tu ne vas pas le manger. 65 Ben par exemple, si je veux prendre mon temps avant d'avoir une relation sexuelle. Ou si je ne souhaite pas qu'il y ait d'alcool ou de porc Ă  la maison si on n'habite ensemble... Qu'il accepte mes pratiques ... Il va te proposer du concubinage C la norme chez les gwer 66 Beaucoup de non-musulmans ne boivent pas d'alcool. Pour le porc, je ne comprends pas en quoi cela est "haram" de l'avoir Ă  la maison, tu ne vas pas le manger. C'est un blocage 67 C'est un blocage Je comprends le poids des blocages! Pour moi, pas de soucis si c'est du bacon ou des tranches de jambon pour les sandwichs mais pour toute autre viande fraiche, ce n'est pas que je n'en veux pas mais je ne cuisine pas de porc, c'est aussi simple que ça. Et je vais cuisiner uniquement ce que je compte Ă©galement manger, s'il veut qu'on lui prĂ©pare un truc, il n'a qu'Ă  engager un chef. Donc forcĂ©ment Ă  moins que ce soit lui qui veut prĂ©parer un plat spĂ©cifique pour lui, il n'y en aura pas Ă  la maison car je ne vais pas l'acheter. 68 Il va te proposer du concubinage C la norme chez les gwer C'est la norme partout dans le monde en vĂ©ritĂ©. J'avoue que c'est une dĂ©cision qui est lourde pour moi, mais voilĂ , si c'Ă©tait aussi simple, comme on dit Dieu est grand dispensateur, alors pourquoi depuis des annĂ©es je ne parviens pas Ă  tomber amoureuse d'un musulman et Ă  me marier? Ça fait des annĂ©es que je patiente et les frustrations ne s'apaisent pas. Et me marier sans sentiment et sans me sentir en confiance et Ă  l'aise, mais juste avec un musulman, c'est impossible pour moi. 69 Je comprends le poids des blocages! Pour moi, pas de soucis si c'est du bacon ou des tranches de jambon pour les sandwichs mais pour toute autre viande fraiche, ce n'est pas que je n'en veux pas mais je ne cuisine pas de porc, c'est aussi simple que ça. Et je vais cuisiner uniquement ce que je compte Ă©galement manger, s'il veut qu'on lui prĂ©pare un truc, il n'a qu'Ă  engager un chef. Donc forcĂ©ment Ă  moins que ce soit lui qui veut prĂ©parer un plat spĂ©cifique pour lui, il n'y en aura pas Ă  la maison car je ne vais pas l'acheter. Je comprends totalement. Franchement cuisiner du porc, c'est impossible pour moi. Je ne pense pas que ça posera de problĂšme Ă  vrai dire... il va s'en douter. 70 tu cherches conseil chez les maghrebins, ben Zaynaa ta rĂ©pondu cash . Tu as eu une rĂ©ponse concrĂšte. Tu veux aussi un verre de vin si ça plait Ă  ton estomac ? salam voilĂ  l'exemple parfait de langage pour faire fuir une musulmane vers un non musulman ! vous vous proclamez musulmans? apprenez le comportement du prophĂšte sws et la maniĂšre dont il parlait aux fidĂšles Jesuis pas pieuse , mais je suis MĂŒslim C tt ce que je sais Et moi aussi maintenant si ces questions te heurtent, je peux le comprendre, mais de lĂ  Ă  Menu. Accueil. Forums. Nouveaux messages. En ce moment. Nouveaux messages Nouveaux messages de profil. Connexion S'inscrire. Quoi de neuf . Nouveaux messages. Menu depuis Recon News 03 avril 2021 Yvan, Ă©galement connu sous le nom de membre QueerYvan, est un historien de la sexualitĂ©. Dans une sĂ©rie d'articles, il Ă©voque quelques-unes de ses rencontres fĂ©tichistes favorites avec beaucoup de dĂ©tails, et il partage occasionnellement des informations sur l'histoire du Charlie, mon meilleur garçon. Je suis encore allĂ© jouer avec les hommes en cuir. Deux grands spĂ©cimens magnifiques qui portaient tellement bien leurs cuirs. L'un d'eux a une barbe rousse broussailleuse, une grosse moustache, et ses cheveux sont toujours bien mis. L'autre a des cheveux bruns trĂšs courts, et comme moi, il a beaucoup de tatouages et une poitrine velue, ses poils frisĂ©s n'ayant pas encore virĂ© au gris comme les miens. Il a Ă©galement un piercing sur sa bite, d'une Ă©paisseur de 00. Il me l'a enfoncĂ© dans la gorge tellement de fois que je ne peux pas l'imaginer dans ce piercing. Ils sont toujours vĂȘtus de cuir de la tĂȘte aux pieds; je ne pourrais pas les imaginer portant autre chose. Le roux, Berlin Rob, portait le mĂȘme t-shirt en cuir, le mĂȘme jean en cuir noir et les mĂȘmes bottes de biker que ceux qu'il porte toujours quand on se voit. Je ne l'ai jamais vu sans gants en cuir; il les a mĂȘme dĂ©jĂ  eus aux mains en me fistant. Sadiq, le plus audacieux des deux, a une immense collection, et je ne l'ai jamais vu deux fois porter les mĂȘmes cuirs. Parfois, c'est une tenue complĂšte de moto, un cuir noir classique comme dans L'ÉquipĂ©e sauvage, ou une tenue de course noire et blanche, adaptĂ©e de telle sorte qu'il peut sortir son paquet quand il a envie de niquer. Quand il fait chaud, je l'ai vu ne porter qu'un jockstrap en cuir et des Doc Martens Ă  18 trous, les jours oĂč il veut que je m'occupe de son trou et de sa superbe bite. Aujourd'hui, il portait un maillot noir, des jambiĂšres en cuir assorties et ses Docs Ă  nouveau la tenue formelle des pĂ©dĂ©s. Viens nous voir », m'ont-ils dit, bien que je ne sache plus lequel des deux m'a invitĂ©. On a une surprise pour toi. »Je me suis prĂ©parĂ©. JambiĂšres en cuir noir et un jockstrap facile Ă  dĂ©faire afin qu'ils puissent se servir de ma bite et de mes boules Ă  leur guise. Je portais Ă©galement un dĂ©bardeur de Tom of Finland sous ma veste en cuir, que j'allais laisser Ă  l'entrĂ©e. En laçant mes bottes, je me demandais vraiment ce qui m'attendait. Ma surprise, c'Ă©tait que je n'allais pas faire le passif. Il y avait un boy super sexy qui viendrait jouer, qu'ils avaient trouvĂ© sur une appli, et ils voulaient que je l'essaie en premier. Il est arrivĂ© pas longtemps aprĂšs moi. Charlie Ă©tait carrĂ©ment le genre de mec que j'aime baiser. D'Ăąge mĂ»r, petit, tĂȘte rasĂ©e, pas de barbe, pas de poils sauf aux aisselles, poils pubiens noirs et frisĂ©s, et poils foncĂ©s au niveau de son cul. Des sourcils parfaits encadraient ses yeux français sombres. Ses lĂšvres Ă©taient pulpeuses et affamĂ©es. Son corps Ă©tait fort. De superbes tatouages de motifs noirs et une vue du mont Fuji sur son dos. Il portait un short en cuir noir avec une fermeture Ă©clair qui faisait tout le tour pour donner accĂšs Ă  son cul. Je lui ai dit de retirer son dĂ©bardeur, et je pouvais voir un cerce noir tatouĂ© autour d'un de ses tĂ©tons, les deux Ă©tant percĂ©s avec de gros anneaux. Je me suis levĂ© pour voir de plus prĂšs. On lui avait dit de ne pas se doucher ce matin-lĂ , et de ne pas porter de dĂ©o durant toute la semaine avant notre rendez-vous. Je l'ai respirĂ©. Son odeur me montait Ă  la tĂȘte et elle changeait Ă  mesure que je reniflais diffĂ©rentes parties de son corps. Je me tenais derriĂšre lui et l'ai fait tourner pour qu'il se trouve face au miroir pendant que je passais mes mains sur lui, le sentant comme si son corps Ă©tait le mien. Son dos Ă©tait fort, ses bras musclĂ©s Ă  mon goĂ»t. Son ventre Ă©tait lisse, doux, avec un fin filet de poils qui m'invitaient Ă  me diriger vers l'intĂ©rieur de son short. Je passais mon bras autour de sa poitrine ferme et plate, l'attirant vers moi, et je regardais son visage pendant que je mettais ma main droite dans son slip. Il Ă©tait dĂ©jĂ  excitĂ©, et je jouais avec lui en ignorant sa bite mais en tripotant ses boules, et je le caressais afin de sentir son plaisir enfler, en mettant la pression sur son pĂ©rinĂ©e, rĂ©veillant sa prostate. On va te niquer Ă  mort », lui dis-je doucement Ă  l'oreille, et je pouvais le sentir se crisper d'excitation. Tu vas ĂȘtre ma salope ce soir, notre salope. » Il fermait les yeux pour se concentrer sur son excitation, et je frottais mes doigts contre sa bite. Tu seras encore bĂ©ant quand on en aura fini avec toi » lui dis-je, et il a poussĂ© un soupir. C'est ce que tu veux ? C'est pourquoi tu es venu ? » Il secoua la tĂȘte, un air rĂȘveur sur son visage, ses yeux toujours fermĂ©s. J'ai pris son tĂ©ton entre mes doigts et mon pouce et j'ai pressĂ© fort, sans relĂącher la pression entre ses jambes. Ses tĂ©tons Ă©taient foncĂ©s, Ă©pais, bouffis, comme s'ils avaient Ă©tĂ© sucĂ©s de nombreuses fois par le passĂ©. Le mĂ©tal Ă©tait froid dans sa chair souple, et j'ai serrĂ© tellement fort avec mes doigts que la sensation l'a fait ouvrir les yeux. C'est mieux », lui dis-je. Tu devrais clairement regarder les gens dans les yeux quand ils te parlent. »- Pardon, monsieur », me dit-il. - Monsieur ? Qui t'a dit de m'appeler monsieur ? Je m'appelle Yvan » lui dis-je, retirant brusquement ma main de son short, et pinçant son autre tĂ©ton percĂ©. Regarde, dans le miroir. Ne regarde pas autre chose que ton corps » lui dis-je, en pinçant l'acier de ses tĂ©tons plus fort. Son visage se tordait, mais il allait bien. Il Ă©tait revenu au moment prĂ©sent en respirant fort, le regard fixe. - Que vas-tu faire pour nous ce soir ? » lui ai-je demandĂ©. - Tout ce que tu veux, Yvan » rĂ©pondit Charlie, doucement. J'ai tirĂ© plus fort sur ses tĂ©tons, les faisant s'Ă©loigner de son corps, le soulevant par leur biais jusqu'Ă  ce qu'il se tienne sur ses orteils, essayant de supporter cette insoutenable sensation. Plus fort, mon garçon. Ils ne peuvent pas t'entendre. » - Je ferai tout ce que vous voudrez, faites de moi votre chose » dit-il avec une voix ferme, grinçant des dents alors que je tordais et tirais sur ses tĂ©tons. - Bien. » rĂ©pondis-je, puis je me suis mis Ă  frapper mes mains contre sa poitrine, Ă©crasant ses tĂ©tons. Je pouvais voir qu'il avait mal. C'est dommage que je n'aie pas apporter des aiguilles. J'aurais adorĂ© te percer les tĂ©tons encore une fois, pour que tu n'arrĂȘtes pas une seconde de penser Ă  tes tĂ©tons. » Il ne rĂ©pondit rien. Je pouvais voir qu'il aimait plus le look de ses piercings que la douleur qu'il avait endurĂ©e pour les avoir. Mais il allait bien. Il m'avait donnĂ© ce que je voulais. Je l'ai fait se retourner et j'ai pris son visage dans mes mains et l'ai embrassĂ©. Il aimait embrasser avec empressement, ses lĂšvres douces entrouvertes, sa bouche accueillant ma langue. Il pressait son corps contre le mien quand nous nous sommes embrassĂ©s. Il se donnait Ă  moi, frottant son paquet contre mon cuir. J'ai attrapĂ© sa tĂȘte, sa barbe de trois jours me chatouillant les doigts. Quelle salope, celui-lĂ  » dit Sadiq. OĂč l'as-tu trouvĂ©, Rob ? »- Il me courait aprĂšs sur Recon. Je lui ai dit que j'avais un copain et qu'on baisait seulement tous les deux, et il a dit que ça lui plaisait. Alors, je lui ai dit que je voulais une partouze, et il a dit que ça l'avait toujours fait fantasmer, qu'il voulait ĂȘtre la plus grande salope de la Terre », c'Ă©tait ses mots exacts. Et nous y voilĂ . »- Nous y voilĂ , effectivement. » dis-je aux hommes, puis je me suis retournĂ© vers Charlie. Ouvre la bouche » dis-je. Il obĂ©it, en sortant sa langue. J'ai crachĂ© Ă  l'intĂ©rieur et l'ai regardĂ© avaler. Tu es un bon garçon » dis-je. Tu vas me faire plaisir. Nous faire plaisir. » Je lui ai crachĂ© au visage, et j'ai Ă©talĂ© la salive, le dĂ©gradant, lui faisant voir ce que c'est exactement que de vouloir ĂȘtre une salope. J'ai mis mes doigts dans sa bouche, au fond de sa gorge, et j'ai vu comment la texture changeait en caressant sa gorge. Vas-tu nous rendre heureux ? » ai-je Oui » balbutia-t-il, et je pouvais sentir combien il lui Ă©tait difficile de faire passer sa voix entre mes doigts. Ses yeux Ă©taient parlants. Il avait faim. J'ai repoussĂ© son visage. Montre-nous ce que tu peux faire », lui ai-je dit. Il se retourna et je touchais son beau corps, agrippant son cul, qui Ă©tait bien rond. Je veux te donner une fessĂ©e, » lui dis-je, et il s'est accroupi devant moi. Je l'ai prĂ©parĂ© un peu au travers de son short en cuir, ce qui attĂ©nuait mes coups secs en un bruit sourd. Ça ne suffit pas », lui dis-je, en ouvrant son short, l'enlevant brusquement et le jetant par terre pour rĂ©vĂ©ler son cul appĂ©tissant. Il ne portait rien d'autre que ses bottes. Je l'ai fait se tenir debout avec ses mains accrochĂ©es Ă  un anneau suspendu au plafond, et je lui ai dit de compter jusqu'Ă  dix pendant que je frappais fort sa fesse gauche. Il s'est tortillĂ©, mais il ne m'a pas dit d'arrĂȘter et son cul est devenu rouge Ă  l'endroit oĂč je l'ai frappĂ©. Penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? » ai-je demandĂ©. Tu n'as pas arrĂȘtĂ© de bouger. » Il Ă©tait déçu, mais ne disait rien. Je l'ai regardĂ© dans les yeux. Je t'ai posĂ© une question, penses-tu que c'Ă©tait acceptable ? »- Non, pardon Yvan. »- Est-ce que tu peux faire mieux ? »- Oui, je le peux. »- Bien. Je vais te tenir. Sadiq, viens ici. » Il s'approcha, se frottant les mains en soulevĂ© le garçon en enveloppant ses jambes autour de moi. Frappe-le », dis-je Ă  Sadiq, et chaque coup sur son cul Ă©tait plus fort que le prĂ©cĂ©dent. Quand je l'ai redescendu, on a plaisantĂ© en disant que Sadiq frappait plus fort que moi. Vingt coups, et son cul Ă©tait sacrĂ©ment rouge. Rob regardait le spectacle, buvant de l'eau et fumant une cigarette. J'ai mis le garçon sur ses genoux, penchĂ© sur le fauteuil en cuir. Je pouvais sentir ma bite enfler, contractĂ© dans mon jockstrap, et j'ai dĂ©cidĂ© de l'enlever. J'aimais le faire attendre, et faire en sorte que les deux hommes puissent le voir exposĂ© comme ça. Écarte tes fesses » dis-je, pour nous amuser encore plus. Il Ă©tait trĂšs sexy. Son cul Ă©tait rond et il nous excitait, avec des poils noirs bouclĂ©s autour de son trou du cul rose. Ses couilles se balançaient, et j'ai placĂ© la semelle de ma botte contre elles, les pressant Ă  plat contre le fauteuil. Ses gĂ©missements me faisaient savoir Ă  quel point il aimait ça, et j'ai augmentĂ© ma force, les Ă©crasant encore plus. Tu as un beau cul, » dis-je, et je me suis approchĂ© pour le mis mon visage dans son cul et j'ai lĂ©chĂ© toute la sĂ©crĂ©tion de ce jour-lĂ , sueur salĂ©e avec toute la saveur du garçon. Je l'ai attrapĂ©, Ă©cartĂ© ses fesses, mangĂ© ses couilles et son pĂ©rinĂ©e, et l'ai baisĂ© avec ma langue, dans une vraie frĂ©nĂ©sie. Je me suis Ă©loignĂ© un peu et l'ai regardĂ©, lui disant Ă  quel point il Ă©tait bon petit cochon et que je voulais le pĂ©nĂ©trer. Il gĂ©mit, hocha la tĂȘte et dit Tout ce que tu veux », et j'ai pris cela comme son recouvert mes doigts de lubrifiant silicone et me suis facilement glissĂ© en lui. Un doigt, deux doigts. J'ai localisĂ© sa prostate et me suis concentrĂ© dessus avec des mouvements dĂ©licats, en suivant son souffle alors que je sentais l'Ă©nergie sexuelle dans son corps augmenter. J'ai accĂ©lĂ©rĂ© le rythme, en pĂ©nĂ©trant son cul plus profondĂ©ment, sentant son trou du cul se dilater autour de mes doigts. J'adore la sensation d'un cul qui se dilate pour moi, et j'ai commencĂ© Ă  entrer et sortir mes doigts, de plus en plus vite et plus profondĂ©ment, mon autre main lui serrant les couilles fermement. S'il te plaĂźt, mets un autre doigt en moi », J'adore les salopes qui en demandent plus », dis-je. Je lui ai mis trois doigts d'abord, puis quatre doigts, faisant glisser ma main vers l'intĂ©rieur et l'extĂ©rieur jusqu'Ă  ce que je le dilate autour de la partie la plus large de la main, et mon pouce Ă©tait la seule chose qui m'empĂȘchait d'entrer tout mon poing. Il n'arrĂȘtait pas de gĂ©mir, il ne retenait rien du tout. J'adore quand un mec se donne Ă  fond comme ça. Les hommes regardaient tous les deux, attentivement, et se branlaient alors que je jouais avec le garçon qu'ils avaient choisi pour les amuser. J'entrais et sortais, plus vite et plus fort, ressentant les vagues de plaisir qui envahissaient Charlie, le baisant comme j'adore me faire baiser. Jouiras-tu encore pour moi ? » lui demandais-je, alors qu'il Ă©tait Ă©vident qu'il allait encore jouir. Je pouvais presque voir le liquide prĂ©-sĂ©minal dĂ©gouliner sur le cuir du Puis-je, s'il vous plait ? » dit-il en Bien sĂ»r, jouis. » dis-je en le pĂ©nĂ©trant encore plus fort, sentant son trou se refermer autour de ma main, puis son corps essayant de me repousser alors qu'il serrait sa chair avec une force brutale. Je n'ai pas arrĂȘtĂ©. Alors que son corps se contractait, j'ai continuĂ© Ă  pousser de plus en plus fort, Ă©tonnĂ© de voir comment il s'Ă©tait rendu. Il jouit encore et encore, coulant des riviĂšres de sperme de sa queue flasque jusqu'au sol. C'Ă©tait un orgasme si intense qu'il se tordait involontairement et donnait l'impression qu'il allait C'est bien mon garçon, tu as tout donnĂ©, » lui dis-je en retirant mes doigts de son cul bĂ©ant. Mange, cochon, » lui dis-je, le forçant Ă  rapprocher son visage de son propre sperme sur le parquet. Il Ă©tait impatient et avait soif, un passif dĂ©sespĂ©rĂ© essayant de plaire aux autres en se concentrant sur cette tĂąche dĂ©licate. J'Ă©tais content et je le lui ai dit, et Ă  ce moment-lĂ , son visage s'est illuminĂ© d'un sourire et d'une profonde tellement excitĂ© que j'ai dĂ» le baiser. Ma queue la pĂ©nĂ©trait facilement, son cul palpitait toujours Ă  cause de mes doigts experts, et il gĂ©missait sur le sol, son visage pressĂ© contre la mare de son propre sperme. J'Ă©tais debout, le poussant profondĂ©ment, entendant ses grognements alors que je le pĂ©nĂ©trais. Son cul Ă©tait doux et chaud autour de ma bite. Il gĂ©missait dĂ©licieusement chaque fois que je le pĂ©nĂ©trais assez fort pour atteindre son deuxiĂšme sphincter. Je sortais pour regarder son cul bĂ©ant Ă  chaque fois que je pensais que j'allais jouir, puis je pĂ©nĂ©trais son cul brusquement Ă  nouveau, retenant mon orgasme aussi longtemps que je le pouvais, travaillant sur mon propre plaisir. Je l'ai remis sur le fauteuil, Ă©tirĂ© son corps pour mettre tout mon poids contre lui, le baisant contre les meubles, le niquant jusqu'Ă  ce qu'il se mette Ă  gĂ©mir et Ă  crier, alors qu'il touchait ses parties gĂ©nitales et se masturbait. Je l'ai baisĂ© fort, avec un de mes genoux clouĂ© sur sa poitrine pour le pĂ©nĂ©trer le plus profondĂ©ment possible, jusqu'Ă  ce que je sente mon orgasme arriver, n'Ă©coutant pas ses gĂ©missements de plaisir mais en me concentrant sur le mien, en utilisant son trou du cul jusqu'Ă  ce que ma respiration s'accĂ©lĂšre, que je jouisse et que je m'Ă©croule sur lui dans la sueur, sentant mon Ă©rection descendre Ă  l'intĂ©rieur de son cul qui palpitait l'ai dĂ©placĂ© plus loin sur le fauteuil, son cul dĂ©passant. Sors-la pour moi » dis-je, et j'ai Ă©cartĂ© ses fesses jusqu'Ă  ce que je puisse voir mon sperme blanc contre la couleur rouge de son cul dilatĂ©. Je l'ai nettoyĂ© avec ma langue, puis je lui ai dit de se mettre Ă  genoux sur le sol devant le miroir. Il est temps que tu les serves, maintenant. » dis-je en dĂ©signant mes amis. Je me suis adossĂ© contre le fauteuil en cuir noir, regardant les deux autres s'amuser avec lui. Sa bouche affamĂ©e couvrait toute la longueur de la queue de Rob, Ă©tirant ses lĂšvres sur toute la largeur de son pĂ©nis de sorte que la salive coulait le long de son menton. Sadiq avait sa longue bite Ă  la main et se tenait derriĂšre le garçon, brossant le cul ouvert de Charlie avec le piercing de sa bite, se servant de mon sperme et de ma salive comme lubrifiant. Je pouvais voir le mĂ©tal de son gros piercing disparaĂźtre dans son trou du cul. C'Ă©tait trĂšs excitant, je me suis remis Ă  bander en me touchant et en regardant Charlie se faire Ă©clater, Sadiq l'attrapant par les Ă©paules pendant que Rob lui niquait la bouche avec sa grosse bite. Quand Sadiq s'est retirĂ©, j'ai vu le sperme couler du cul que j'avais posĂ© mon pied sur un tabouret et j'ai dit Ă  Charlie de s'asseoir sur mes bottes, ses boules collĂ©es contre les lacets rouges. Il a frottĂ© son paquet jusqu'Ă  ce qu'il devienne rouge. Rob Ă©tait derriĂšre lui, baisant son trou du cul sur lequel nous avions dĂ©jĂ  bien travaillĂ©, le baisant pendant que je me branlais. Le plaisir de Charlie Ă©tait prĂ©sent sur son visage, brillant de salive, la bouche ouverte par l'extase. Il a joui sur ma botte pendant que Rob jouissait en lui; quand il s'est levĂ©, je lui ai dit de nettoyer, et il a obĂ©i servilement. Je l'ai laissĂ© finir et lui ai dit de sucer ma bite jusqu'Ă  ce que je jouisse, et j'ai embrassĂ© ses lĂšvres qui sentaient mon sperme. La prochaine fois », dis-je, en supposant qu'ils l'inviteraient Ă  nouveau, je veux le fouetter avec un bĂąton pendant que vous regarderez. Un cul aussi parfait que ça devrait prendre plus que quelques bites. » Ce sont des mecs comme lui qui me donnent envie de ne pas ĂȘtre qu'un passif pour les adeptes du cuir. Partager
4– Couple : les problĂšmes liĂ©s Ă  la violence psychologique. Une autre forme de violence existe : la violence psychologique. Votre conjoint peut essayer de contrĂŽler : Vos amis,

Mis Ă  jour le 14 fĂ©vrier 2021 Ă  18h00 © Getty Quand Anne s'installe chez sa copine pour garder son chat, elle n'imagine pas qu'elle va trouver l'homme de sa vie Ă  l'Ă©tage du dessus. Encore moins qu'elle serait en tenue d'Eve. Et pourtant... Par Nathalie HĂ©lal En sentant une caresse appuyĂ©e sur mes seins, j'ai pĂ©niblement ouvert un oeil. Il Ă©tait en train de se rhabiller et affichait un air autosatisfait qui m'a dĂ©plu sur-le-champ. Nous venions de passer une nuit torride, mais il se comportait comme s'il n'avait dĂ©jĂ  plus rien Ă  me prouver tout Ă  fait le genre de garçon avec lequel l'aventure s'arrĂȘte au saut du lit ! J'avais hĂąte qu'il s'en aille, et aucune envie de le revoir. Par chance, il ne savait rien de moi. L'appartement qui venait d'abriter nos Ă©bats n'Ă©tait pas le mien et, d'ici Ă  vingt-quatre heures, dĂšs que StĂ©phanie dont je gardais le chat serait rentrĂ©e de son escapade Ă  Marrakech, je serais introuvable Ă  cette adresse. Nue, je l'ai raccompagnĂ© jusqu'Ă  la porte, oĂč j'ai Ă©courtĂ© les adieux. Je me suis ensuite dirigĂ©e vers la salle de bains. C'est Ă  ce moment prĂ©cis que j'ai senti que quelque chose clochait Jean-Claude n'Ă©tait pas venu se frotter Ă  mes jambes comme d'habitude. Beau spĂ©cimen de race europĂ©enne », Jean-Claude Ă©tait un chat idolĂątrĂ© par sa maĂźtresse. Gentil mais tĂȘtu, il avait une fĂącheuse tendance Ă  essayer de se faufiler dehors Ă  la moindre occasion. Si ma copine se fichait pas mal que je ramĂšne des amants chez elle en son absence, en revanche, elle faisait une fixation sur le bien-ĂȘtre de son chat ! Que faire si je croisais quelqu'un ? »AprĂšs l'avoir cherchĂ© dans chaque recoin de l'appartement, il a fallu me rendre Ă  l'Ă©vidence Jean-Claude avait disparu. Il avait dĂ» profiter du moment des adieux pour prendre la poudre d'escampette. PaniquĂ©e, j'ai foncĂ© jusqu'Ă  la porte que j'ai entrouverte. Il Ă©tait lĂ , sagement assis sur les marches, et a miaulĂ© en me voyant. Pendant une fraction de seconde, j'ai pensĂ© Ă  rentrer pour m'habiller en vitesse, mais la crainte que Jean-Claude ne profite de ce moment pour fuguer encore plus loin m'a retenue je n'avais qu'Ă  m'avancer pour le rĂ©cupĂ©rer, Ă  deux enjambĂ©es du seuil. Ce que j'ai fait, non sans mal car Jean-Claude se dĂ©battait. J'Ă©tais Ă  environ cinquante centimĂštres de la porte, quand quelqu'un, Ă  l'Ă©tage au-dessus, a refermĂ© un peu trop fort la sienne j'ai vu la porte me claquer au nez, comme dans un film. En tenue d'Eve, Ă  7 heures du matin, un chat noir dans les bras, j'avais l'air malin ! Le pire, c'est que je ne connaissais personne dans ce foutu immeuble. Et je savais par StĂ©phanie que la gardienne Ă©tait du genre pas commode, donc, toquer Ă  sa loge Ă©tait mission impossible. Que faire si je croisais quelqu'un ? J'ai inspirĂ© profondĂ©ment pour me calmer, sans lĂącher Jean-Claude. Il fallait Ă  tout prix que je trouve quelque chose pour paraĂźtre un peu moins dĂ©vĂȘtue... J'ai attrapĂ© le paillasson le moins dĂ©gueu de tout le palier, et j'ai pris mon courage Ă  deux mains pour sonner Ă  la porte d'en face. Sans succĂšs. Me tournant vers la porte de gauche, j'ai perçu des pas lĂ©gers, et une voix enfantine a retenti Maman ! Y a une dame toute nue ! » Je n'ai pas attendu la rĂ©ponse pour me dissimuler dans l'escalier. AprĂšs avoir frappĂ© Ă  la porte de droite, j'ai eu droit Ă  une menace, venant d'une vieille dame flippĂ©e "Allez-vous-en ou j'appelle la police !" Il ne me restait plus qu'Ă  tenter ma chance Ă  l'Ă©tage du dessus... Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu »J'ai grimpĂ© l'escalier en rasant les murs. J'avais la hantise que Jean-Claude ne m'Ă©chappe pour de bon. J'ai choisi au hasard la porte du milieu et m'apprĂȘtais Ă  toquer quand celle de droite s'est ouverte. Un homme d'une trentaine d'annĂ©es, la rĂ©plique de Hugh Grant, est apparu, un attachĂ©-case Ă  la main. Je ne sais pas lequel de nous deux a Ă©tĂ© le plus surpris lui, qui a esquissĂ© le geste de se frotter les yeux, ou moi. Avez-vous besoin de quelque chose ? » m'a-t-il demandĂ©, avec un dĂ©licieux accent. En plus de ressembler au plus sexy des play-boys anglais, il en Ă©tait visiblement un compatriote. Je suis Anne, votre voisine du dessous, ma porte s'est refermĂ©e et... J'aimerais bien passer un coup de fil... et me mettre quelque chose sur le dos », ai-je dĂ©bitĂ© Ă  toute vitesse. Pas de problĂšme ! Entrez, faites comme chez vous. Au fait, je m'appelle Colin. Ne vous inquiĂ©tez pas pour le chat, il est le bienvenu lui aussi ! » Je n'avais pas le choix, et j'avoue que son charme ne me laissait pas indiffĂ©rente. L'urgence pour moi Ă©tait de rĂ©intĂ©grer l'appartement de StĂ©phanie, avec son chat. Colin s'est effacĂ© pour me laisser entrer mais je lui ai fait signe de me prĂ©cĂ©der, le paillasson ne couvrant que le devant de mon corps... Il a eu le tact de ne pas se moquer de moi et s'est prĂ©cipitĂ© dans la salle de bains pour me tendre un peignoir. Pendant ce temps, Jean-Claude faisait le tour du propriĂ©taire. Vous voulez un cafĂ©, un thĂ©... grignoter quelque chose ? » Un peu rassĂ©rĂ©nĂ©e, j'ai acceptĂ© un thĂ©, et souri en voyant Colin, dans la cuisine, camoufler la vaisselle sale de la veille. Pendant que je soufflais sur ma tasse, il avait dĂ©jĂ  composĂ© le numĂ©ro d'un serrurier. Bon... VoilĂ  ce que nous allons faire... Je dois partir travailler, mais vous allez rester ici en attendant que le type arrive. MĂȘme s'il met la journĂ©e, prenez tout votre temps et reposez-vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin... - Je ne sais pas comment vous remercier... et pour le chat, dites-moi, vous n'auriez pas quelque chose Ă  manger... et pour le reste ? » ai-je questionnĂ©, inquiĂšte pour les dĂ©gĂąts que Jean-Claude pouvait causer. Ah ! Vous avez raison, je vais arranger ça tout de suite », a dĂ©clarĂ© mon sauveur. En un clin d’Ɠil, il avait passĂ© commande sur Internet d'un paquet de croquettes, d'un sac de litiĂšre et d'un bac en plastique. Le tout allait ĂȘtre livrĂ© en moins d'une heure. Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu, avec un chat pour toute compagnie. Colin m'avait confiĂ© ses clĂ©s, avec la recommandation expresse de ne pas les oublier Ă  l'intĂ©rieur, si je sortais... Le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! »Vers 19 heures, quand il est rentrĂ©, j'avais eu le temps de mĂ©diter sur le charme de notre rencontre. J'avais surtout fait la visite approfondie de son appartement. N'ayant pas grand-chose pour tromper mon ennui, et dĂ©sireuse de savoir Ă  qui j'avais affaire, je ne m'Ă©tais pas gĂȘnĂ©e pour fouiner dans ses placards et ses tiroirs. Verdict le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! Cette dĂ©couverte m'avait d'ailleurs fait m'incruster plus que de raison, y compris aprĂšs le dĂ©part du serrurier. J'avais trĂšs envie de lui montrer qu'en dĂ©pit des apparences j'Ă©tais tout sauf une blonde idiote, capable de s'aventurer sans ses clĂ©s, nue sur le palier. Alors je suis allĂ©e faire des courses, j'ai cuisinĂ© tout l'aprĂšs-midi, je suis passĂ©e me doucher, me changer et me maquiller chez StĂ©phanie, et j'ai dressĂ© la table... chez lui. Quand il a sonnĂ© Ă  la porte, il a eu un second choc. J'avoue qu'objectivement, ce que j'avais fait Ă©tait assez gonflĂ©... je n'Ă©tais pas censĂ©e savoir qu'il Ă©tait un coeur Ă  prendre ! Heureusement, l'idĂ©e de ce petit dĂźner improvisĂ© en tĂȘte Ă  tĂȘte l'a enchantĂ©. Il m'a confiĂ© plus tard qu'il avait l'impression de ne pas ĂȘtre au bout de ses surprises avec moi, et que c'est ce qui l'avait sĂ©duit. Il m'a dit aussi qu'aprĂšs m'avoir vue nue, il avait eu envie d'aller voir si j'avais aussi une tĂȘte bien faite. Nos vĂ©rifications rĂ©ciproques ont tellement bien fonctionnĂ© que nous ne nous sommes plus quittĂ©s un mois aprĂšs cet Ă©pisode improbable, je m'installais chez lui. Et dĂ©sormais, quand StĂ©phanie n'est pas lĂ , je prends Jean-Claude en pension chez nous.

WBWQ.
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